«Cette destruction de l'Art par des délinquants ne peut en rien être justifiée», a réagi ce samedi la ministre de la Culture, après une action du mouvement écologiste Riposte alimentaire au musée d'Orsay, à Paris.
«Cette destruction de l'Art par des délinquants ne peut en rien être justifiée. Elle doit cesser !», a réagi sur X ce samedi 1er juin la ministre de la Culture, après qu’une militante écologiste de Riposte alimentaire a été interpellée après une action contre le tableau Les Coquelicots de Claude Monet au musée d’Orsay, à Paris.
Rachida Dati a de même annoncé avoir saisi le ministère de la Justice «pour la mise en œuvre d'une politique pénale adaptée à cette nouvelle forme de délinquance qui s'attaque à l'aspect le plus noble de notre cohésion : la culture !»
Multiplication de ces actions
Ce matin, une jeune femme a collé sur la célèbre peinture à l’huile, achevée en 1873 et représentant un paysage impressionniste fleuri, un poster adhésif représentant une vision d’apocalypse. «Ce tableau cauchemardesque devant nous, c'est ce qui nous attend si aucune alternative n'est mise en place ! À +4°C, c'est l'enfer qui nous attend», a déclamé la militante, vêtue d'un tee-shirt portant l'inscription «+4°C», en référence à la hausse de la température prévue par le gouvernement en France d'ici 2100.
Riposte alimentaire, anciennement Dernière rénovation, multiplie ce type d’action depuis plusieurs mois. En janvier, le mouvement a revendiqué le jet de soupe sur la vitre qui protège la Joconde , au musée Louvre. Le 8 mai, ses militants ont collé des affichettes autour de La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix, là encore au musée du Louvre. En avril, au musée d'Orsay déjà, deux de ses militants, arrêtés à l'entrée car soupçonnés de vouloir mener une action, avaient été placés en garde à vue.
«Cette destruction de l'Art par des délinquants ne peut en rien être justifiée», a réagi ce samedi la ministre de la Culture, après une action du mouvement écologiste Riposte alimentaire au musée d'Orsay, à Paris.
«Cette destruction de l'Art par des délinquants ne peut en rien être justifiée. Elle doit cesser !», a réagi sur X ce samedi 1er juin la ministre de la Culture, après qu’une militante écologiste de Riposte alimentaire a été interpellée après une action contre le tableau Les Coquelicots de Claude Monet au musée d’Orsay, à Paris.
Rachida Dati a de même annoncé avoir saisi le ministère de la Justice «pour la mise en œuvre d'une politique pénale adaptée à cette nouvelle forme de délinquance qui s'attaque à l'aspect le plus noble de notre cohésion : la culture !»
Multiplication de ces actions
Ce matin, une jeune femme a collé sur la célèbre peinture à l’huile, achevée en 1873 et représentant un paysage impressionniste fleuri, un poster adhésif représentant une vision d’apocalypse. «Ce tableau cauchemardesque devant nous, c'est ce qui nous attend si aucune alternative n'est mise en place ! À +4°C, c'est l'enfer qui nous attend», a déclamé la militante, vêtue d'un tee-shirt portant l'inscription «+4°C», en référence à la hausse de la température prévue par le gouvernement en France d'ici 2100.
Riposte alimentaire, anciennement Dernière rénovation, multiplie ce type d’action depuis plusieurs mois. En janvier, le mouvement a revendiqué le jet de soupe sur la vitre qui protège la Joconde , au musée Louvre. Le 8 mai, ses militants ont collé des affichettes autour de La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix, là encore au musée du Louvre. En avril, au musée d'Orsay déjà, deux de ses militants, arrêtés à l'entrée car soupçonnés de vouloir mener une action, avaient été placés en garde à vue.
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