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Métropole de Lyon. Taylor Swift en concert : qui ne “shake” pas n'est pas Lyonnais - Le Progrès

Prenez la chanteuse américaine dont tout le monde parle, un phénomène planétaire, plus de 120 000 spectateurs, les Swifties, ses fans, des ventes de billets qui se jouent à l’échelle mondiale, ajoutez des paillettes, secouez (“shake it”, comme elle le chante) et vous n’aurez qu’un aperçu de ces derniers jours à Lyon.

Des Américains partout, des fans, beaucoup de filles et de jeunes, des commerces qui jouent le jeu à fond… C’était la TayTay mania. Lyon a été « swifté ». Un phénomène loin de plaire à tout le monde, encore moins d’être compris, mais dont l’existence est désormais irréfutable.

« Lyon, vous me faites me sentir incroyable »

Ce lundi soir, Taylor Swift a donné son deuxième et dernier concert au Groupama Stadium, le dernier en France de sa tournée planétaire de 150 dates, l’Eras Tour, sur tous les continents. Elle était dans une forme olympique dans le stade de l’Olympique lyonnais.

Une nouvelle fois, la star a pris son plus bel accent français pour parler à son public. « Bonsoir Lyon, je m’appelle Taylor […]. Je vous aime tous ! » Annonçant non sans fierté qu’elle était l’artiste féminine ayant le plus rempli le Groupama Stadium. « Lyon, vous me faites me sentir incroyable. »

Pas de pluie ce lundi soir contrairement à la veille pour celle qui adore les « rains shows ». Les plus de 60 000 spectateurs étaient au rendez-vous dans une ambiance toujours incandescente, mais différente de dimanche. Parmi eux, des people dont John Textor, le président de l’OL, ou les musiciens punk rock de Green Day, qui joueront à la LDLC Arena mercredi.

L'heure du TayTay blues pour les fans

Tay-Tay a dévoilé de nouvelles tenues et le public lyonnais a peut-être bien réussi à lui tirer une larme. Elle était manifestement très émue. Une nouvelle fois, celle qui a une histoire torturée avec la France l’a répété, « je ne referai pas l’erreur de zapper la France ».

Dans le set très attendu de chansons acoustiques, Lyon a eu droit à “Everything has changed” et “Chloe or Sam or Sophia or Marcus”, toutes deux jouées pour la première fois en live.

Les Swifties, dont beaucoup ignoraient l’existence de Lyon jusque-là, vont pour certains encore rester quelques jours, le temps de gérer leur « TayTay blues ».

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Prenez la chanteuse américaine dont tout le monde parle, un phénomène planétaire, plus de 120 000 spectateurs, les Swifties, ses fans, des ventes de billets qui se jouent à l’échelle mondiale, ajoutez des paillettes, secouez (“shake it”, comme elle le chante) et vous n’aurez qu’un aperçu de ces derniers jours à Lyon.

Des Américains partout, des fans, beaucoup de filles et de jeunes, des commerces qui jouent le jeu à fond… C’était la TayTay mania. Lyon a été « swifté ». Un phénomène loin de plaire à tout le monde, encore moins d’être compris, mais dont l’existence est désormais irréfutable.

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Une nouvelle fois, la star a pris son plus bel accent français pour parler à son public. « Bonsoir Lyon, je m’appelle Taylor […]. Je vous aime tous ! » Annonçant non sans fierté qu’elle était l’artiste féminine ayant le plus rempli le Groupama Stadium. « Lyon, vous me faites me sentir incroyable. »

Pas de pluie ce lundi soir contrairement à la veille pour celle qui adore les « rains shows ». Les plus de 60 000 spectateurs étaient au rendez-vous dans une ambiance toujours incandescente, mais différente de dimanche. Parmi eux, des people dont John Textor, le président de l’OL, ou les musiciens punk rock de Green Day, qui joueront à la LDLC Arena mercredi.

L'heure du TayTay blues pour les fans

Tay-Tay a dévoilé de nouvelles tenues et le public lyonnais a peut-être bien réussi à lui tirer une larme. Elle était manifestement très émue. Une nouvelle fois, celle qui a une histoire torturée avec la France l’a répété, « je ne referai pas l’erreur de zapper la France ».

Dans le set très attendu de chansons acoustiques, Lyon a eu droit à “Everything has changed” et “Chloe or Sam or Sophia or Marcus”, toutes deux jouées pour la première fois en live.

Les Swifties, dont beaucoup ignoraient l’existence de Lyon jusque-là, vont pour certains encore rester quelques jours, le temps de gérer leur « TayTay blues ».

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