L'entourage de Sylvie Ortega Munos lui a conseillé de cesser d'intervenir sur les réseaux sociaux et surtout de lire les rumeurs les plus fantaisistes, voire les plus sordides, qui y circulent autour du décès brutal de son compagnon, Ludovic Chancel, le 7 avril dernier. Elle s'y est résolue. Allant trouver refuge auprès de sa famille, dans le sud de la France. Mais blessée par les mots de Sheila, la mère de ce dernier qui déclare entre autres dans la presse : « Je veux des réponses aux questions que je n'ai pas. Et je les aurai« , la compagne de Ludovic Chancel, qui aimerait l'épouser à titre posthume, a souhaité parler. Pour dire qu'il n'y a pas d'étrangeté autour de cette mort comme semble le suggérer la chanteuse, et que le résultat de l'autopsie qui sera délivré dans deux semaines ne sera une surprise pour personne.
»On me rapporte des choses horribles, lâche Sylvie Ortega Munos, notamment que je serais une droguée ou une alcoolique alors que je ne touche à rien de tout cela. C'est terrible de devoir se taire quand on lit des choses pareilles, mettez-vous à ma place et imaginez ce que je dois endurer, en plus d'avoir perdu la lumière de mes yeux, celui avec qui je partageais chaque seconde depuis douze ans !"
Sylvie Ortega Munos affirme haut et fort que Ludo était « clean » depuis des années. « Il devait faire chaque mois une prise de sang pour vérifier le dosage de son nouveau traitement contre la bipolarité, maladie qui avait été diagnostiquée quand il avait 26 ans. Le traitement était au début du Lithium, puis du Dépakote. Lors de ces prises de sang, un bilan global était fait et tous les examens prescrits par la clinique Montsouris sont clairs : Ludo n'avait plus d'addiction à la cocaïne. »
Sylvie Ortega Munos reconnait cependant qu'il prenait également de l'Imovane et du Seresta, des anxiolytiques auxquels il était devenu accro, surtout dans les moments de forte dépression. « Il y avait deux périodes très douloureuses pour lui c'était autour de sa date anniversaire et celle de sa mère, car il savait qu'il ne la verrait pas -elle refusait de le voir depuis sept ans- et ça lui était insupportable. »
Avant la soirée du drame, Ludovic Chancel allait mal moralement. »Cela durait depuis une semaine environ", déclare Sylvie Ortega Munos qui savait reconnaître les phases de dépression chez l'homme de sa vie. Elle dit qu'il parlait en boucle de sa mère à nouveau. "Mais je le redis, lance-t-elle, Ludo ne se droguait plus depuis des années et je suis sûre qu'il n'a pas attenté à ses jours non plus."
Le soir du 5 avril, elle a entendu un bruit de tasse qui tombe dans la pièce à côté. Elle s'est inquiétée, est allée voir ce qu'il faisait et là, devant la gravité de son état,a immédiatement appelé le Samu, puis Lucien, l'ami, le frère, pour qu'il vienne s'occuper du chien, et son amie Rosi. "L'équipe du Samu m'a expliqué les gestes à faire en les attendant, quand ils sont arrivés, Ludo était pris de convulsions", raconte Sylvie Ortega Munos encore sous le choc. Après, on lui a demandé d'attendre dans une autre pièce le temps des premiers soins. Puis l'hôpital. Puis… Le cauchemar. Un cauchemar qui aujourd'hui s'alourdit de trop de rumeurs.
Photos : collection personnelle
Read AgainL'entourage de Sylvie Ortega Munos lui a conseillé de cesser d'intervenir sur les réseaux sociaux et surtout de lire les rumeurs les plus fantaisistes, voire les plus sordides, qui y circulent autour du décès brutal de son compagnon, Ludovic Chancel, le 7 avril dernier. Elle s'y est résolue. Allant trouver refuge auprès de sa famille, dans le sud de la France. Mais blessée par les mots de Sheila, la mère de ce dernier qui déclare entre autres dans la presse : « Je veux des réponses aux questions que je n'ai pas. Et je les aurai« , la compagne de Ludovic Chancel, qui aimerait l'épouser à titre posthume, a souhaité parler. Pour dire qu'il n'y a pas d'étrangeté autour de cette mort comme semble le suggérer la chanteuse, et que le résultat de l'autopsie qui sera délivré dans deux semaines ne sera une surprise pour personne.
»On me rapporte des choses horribles, lâche Sylvie Ortega Munos, notamment que je serais une droguée ou une alcoolique alors que je ne touche à rien de tout cela. C'est terrible de devoir se taire quand on lit des choses pareilles, mettez-vous à ma place et imaginez ce que je dois endurer, en plus d'avoir perdu la lumière de mes yeux, celui avec qui je partageais chaque seconde depuis douze ans !"
Sylvie Ortega Munos affirme haut et fort que Ludo était « clean » depuis des années. « Il devait faire chaque mois une prise de sang pour vérifier le dosage de son nouveau traitement contre la bipolarité, maladie qui avait été diagnostiquée quand il avait 26 ans. Le traitement était au début du Lithium, puis du Dépakote. Lors de ces prises de sang, un bilan global était fait et tous les examens prescrits par la clinique Montsouris sont clairs : Ludo n'avait plus d'addiction à la cocaïne. »
Sylvie Ortega Munos reconnait cependant qu'il prenait également de l'Imovane et du Seresta, des anxiolytiques auxquels il était devenu accro, surtout dans les moments de forte dépression. « Il y avait deux périodes très douloureuses pour lui c'était autour de sa date anniversaire et celle de sa mère, car il savait qu'il ne la verrait pas -elle refusait de le voir depuis sept ans- et ça lui était insupportable. »
Avant la soirée du drame, Ludovic Chancel allait mal moralement. »Cela durait depuis une semaine environ", déclare Sylvie Ortega Munos qui savait reconnaître les phases de dépression chez l'homme de sa vie. Elle dit qu'il parlait en boucle de sa mère à nouveau. "Mais je le redis, lance-t-elle, Ludo ne se droguait plus depuis des années et je suis sûre qu'il n'a pas attenté à ses jours non plus."
Le soir du 5 avril, elle a entendu un bruit de tasse qui tombe dans la pièce à côté. Elle s'est inquiétée, est allée voir ce qu'il faisait et là, devant la gravité de son état,a immédiatement appelé le Samu, puis Lucien, l'ami, le frère, pour qu'il vienne s'occuper du chien, et son amie Rosi. "L'équipe du Samu m'a expliqué les gestes à faire en les attendant, quand ils sont arrivés, Ludo était pris de convulsions", raconte Sylvie Ortega Munos encore sous le choc. Après, on lui a demandé d'attendre dans une autre pièce le temps des premiers soins. Puis l'hôpital. Puis… Le cauchemar. Un cauchemar qui aujourd'hui s'alourdit de trop de rumeurs.
Photos : collection personnelle
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