Très discrète depuis l’arrêt de sa carrière, l’ancienne rappeuse a confié au JDD les raisons de son épanouissement. Loin du show-business.
Sa parole est rare. Mélanie Georgiades, devenue star dans les années 2000 sous le nom de Diam’s, a raconté dimanche dans le Journal du dimanche son nouveau quotidien à Rambouillet (Yvelines). Enfin épanouie, loin du rap et de la lumière.
De sa vie de rappeuse, qu’elle a définitivement abandonnée en 2015 et marquée par une profonde dépression, elle n’a gardé qu’une chose : l’écriture. Le reste, pas question d’y revenir. Encore moins de réaliser un nouvel album, comme la rumeur l’indiquait ces dernières semaines. «Penser que le rap puisse changer quelque chose aux réalités douloureuses me semble si naïf aujourd’hui, estime la chanteuse de “Ma France à Moi“. Je l’ai été aussi, mais j’ai changé.»
LIRE AUSSI>Diam’s raconte comment elle a fui sa «prison dorée» grâce à la foi
La mère de famille de 37 ans se concentre sur son nouveau projet, la marque Mel by Mel, dont une partie des bénéfices sera reversée à son association Big Up Project, qui vient en aide à des orphelinats en Afrique. «Concrètement, je vais proposer des articles de papeterie, des accessoires stylisés sur lesquels on trouvera de longs textes inédits, des rimes courtes ou des sagesses qui m’ont marquée, développe-t-elle. Je proposerai aussi des objets et une ligne de vêtements pour enfants».
Cette initiative, Diam’s l’envisage également comme un moyen «d’envoyer cette image de musulmans entrepreneurs qui montent des projets comme tout un chacun et qui veulent avoir une vie sereine». En 2008, l’ancienne rappeuse avait annoncé sa conversion à l’islam, et porte depuis le voile. «De nombreuses femmes portent le voile avec paix et conviction. Certains ne veulent pas entendre cela, regrette-t-elle. Il faudra pourtant que l’on s’accepte les uns les autres si nous voulons cohabiter en bonne intelligence».
Très discrète depuis l’arrêt de sa carrière, l’ancienne rappeuse a confié au JDD les raisons de son épanouissement. Loin du show-business.
Sa parole est rare. Mélanie Georgiades, devenue star dans les années 2000 sous le nom de Diam’s, a raconté dimanche dans le Journal du dimanche son nouveau quotidien à Rambouillet (Yvelines). Enfin épanouie, loin du rap et de la lumière.
De sa vie de rappeuse, qu’elle a définitivement abandonnée en 2015 et marquée par une profonde dépression, elle n’a gardé qu’une chose : l’écriture. Le reste, pas question d’y revenir. Encore moins de réaliser un nouvel album, comme la rumeur l’indiquait ces dernières semaines. «Penser que le rap puisse changer quelque chose aux réalités douloureuses me semble si naïf aujourd’hui, estime la chanteuse de “Ma France à Moi“. Je l’ai été aussi, mais j’ai changé.»
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La mère de famille de 37 ans se concentre sur son nouveau projet, la marque Mel by Mel, dont une partie des bénéfices sera reversée à son association Big Up Project, qui vient en aide à des orphelinats en Afrique. «Concrètement, je vais proposer des articles de papeterie, des accessoires stylisés sur lesquels on trouvera de longs textes inédits, des rimes courtes ou des sagesses qui m’ont marquée, développe-t-elle. Je proposerai aussi des objets et une ligne de vêtements pour enfants».
Cette initiative, Diam’s l’envisage également comme un moyen «d’envoyer cette image de musulmans entrepreneurs qui montent des projets comme tout un chacun et qui veulent avoir une vie sereine». En 2008, l’ancienne rappeuse avait annoncé sa conversion à l’islam, et porte depuis le voile. «De nombreuses femmes portent le voile avec paix et conviction. Certains ne veulent pas entendre cela, regrette-t-elle. Il faudra pourtant que l’on s’accepte les uns les autres si nous voulons cohabiter en bonne intelligence».
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