Pour la troisième et sans doute dernière fois, Dakota Johnson reprend son rôle sulfureux d’Anastasia Steel dans 50 nuances plus claires, dernier opus de l’adaptation sur grand écran des romans de E. L. James. Un personnage qui, depuis 2015, a permis à l’actrice de grandir et de rompre avec son image de gentille « fille de » ses illustres parents, Melanie Griffith et Don Johnson.
Gala : Pourriez-vous, comme Anastasia, tomber amoureuse de Christian Grey ?
Dakota Johnson : Certainement pas. Et je suis surprise de constater à quel point les femmes sont attirées par ce personnage. Certaines me remercient même de les avoir aidées à se libérer sexuellement, mais je n’ai rien absolument rien à voir avec ça ! Dans la vie, je ne ressemble pas du tout à Anastasia. Je recherche plutôt un homme qui me soutienne dans tout ce que je souhaite entreprendre, et qui me respecte.
Gala : Diriez-vous que votre image a changé depuis que vous jouez un rôle aussi sexy ?
D. J. : Je ne me suis jamais sentie sexy, encore moins en tournant ces films… Je ne me rends pas compte de l’image que je peux véhiculer chez les hommes. Quand j’ai commencé Cinquante nuances de Grey, j’avais seulement vingt-trois ans et n’avais jamais tourné de scène de sexe, à part dans une petite comédie qui ne compte pas. Je n’avais d’ailleurs jamais joué nue. En tournant cette trilogie, je me suis sentie à plusieurs reprises très vulnérable.
Gala : Cette héroïne n’est-elle pas à contre-courant du contexte actuel à Hollywood de lutte contre la domination masculine et les abus faits aux femmes ?
D. J. : Au contraire, je pense qu’un tel rôle peut permettre aux femmes de se défendre, d’avoir confiance en elles, que ce soit dans leurs relations amoureuses ou sur leur lieu de travail. J’espère que nous pourrons inspirer un changement, car je suis persuadée que le cinéma a le pouvoir de faire évoluer les mentalités.
Lisez l'intégralité de l'interview de Dakota Johnson dans le magazine Gala en kiosques cette semaine.
Crédits photos : sipa
Pour la troisième et sans doute dernière fois, Dakota Johnson reprend son rôle sulfureux d’Anastasia Steel dans 50 nuances plus claires, dernier opus de l’adaptation sur grand écran des romans de E. L. James. Un personnage qui, depuis 2015, a permis à l’actrice de grandir et de rompre avec son image de gentille « fille de » ses illustres parents, Melanie Griffith et Don Johnson.
Gala : Pourriez-vous, comme Anastasia, tomber amoureuse de Christian Grey ?
Dakota Johnson : Certainement pas. Et je suis surprise de constater à quel point les femmes sont attirées par ce personnage. Certaines me remercient même de les avoir aidées à se libérer sexuellement, mais je n’ai rien absolument rien à voir avec ça ! Dans la vie, je ne ressemble pas du tout à Anastasia. Je recherche plutôt un homme qui me soutienne dans tout ce que je souhaite entreprendre, et qui me respecte.
Gala : Diriez-vous que votre image a changé depuis que vous jouez un rôle aussi sexy ?
D. J. : Je ne me suis jamais sentie sexy, encore moins en tournant ces films… Je ne me rends pas compte de l’image que je peux véhiculer chez les hommes. Quand j’ai commencé Cinquante nuances de Grey, j’avais seulement vingt-trois ans et n’avais jamais tourné de scène de sexe, à part dans une petite comédie qui ne compte pas. Je n’avais d’ailleurs jamais joué nue. En tournant cette trilogie, je me suis sentie à plusieurs reprises très vulnérable.
Gala : Cette héroïne n’est-elle pas à contre-courant du contexte actuel à Hollywood de lutte contre la domination masculine et les abus faits aux femmes ?
D. J. : Au contraire, je pense qu’un tel rôle peut permettre aux femmes de se défendre, d’avoir confiance en elles, que ce soit dans leurs relations amoureuses ou sur leur lieu de travail. J’espère que nous pourrons inspirer un changement, car je suis persuadée que le cinéma a le pouvoir de faire évoluer les mentalités.
Lisez l'intégralité de l'interview de Dakota Johnson dans le magazine Gala en kiosques cette semaine.
Crédits photos : sipa
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