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David Hallyday n'est pas un « va-t-en-guerre » : quel est l'état d'esprit des clans un mois après le procès

Nouveau feuille­ton judi­ciaire au sujet de l'héri­tage de Johnny Hally­day ce jeudi 24 mai. Au programme : orga­ni­sa­tion du calen­drier de la procé­dure et discus­sion sur une possible média­tion entre les diffé­rentes parties. Une négo­cia­tion qui semble aujourd'hui bien compliquée à réali­ser…

Depuis des semaines, le clan Hally­day se déchire autour de l'héri­tage laissé par Johnny Hally­day avant de mourir dans la nuit du 5 décembre décembre 2017. Après un premier acte judi­ciaire le 13 avril dernier, qui s'est soldé par le gel des biens immo­bi­liers du rockeur et le refus d'un droit de regard sur l'album post­hume pour les deux ainés, un deuxième acte concer­nant l'héri­tage de l'idole des jeunes doit se jouer ce jeudi 24 mai.

Au cours de cette nouvelle étape, "il s'agit pour les magis­tratset avocats d'orga­ni­ser le calen­drier de la procé­dure sur le fond qui exami­nera la demande de Laura Smet et David Hally­day de retoquer le testa­ment améri­cain de leur père" rapportent nos confrères du Pari­sien ce jeudi 24 mai. Les juges devraient égale­ment deman­der aux trois parties si elles ne préfèrent pas une média­tion plutôt qu'une procé­dure longue et couteuse.

Dans sa longue inter­view donnée au Point, Laeti­cia Hally­day se disait prête à pardon­ner : « Je les attends les bras ouverts ». Emma­nuel Rava­nas, l'un des avocats de Laura Smet avait appelé à une conci­lia­tion avant le 15 juin, date où Johnny Hally­day aurait fêté ses 75 ans. Mais pour l'heure, aucune négo­cia­tion n'a été enta­mée. Du côté de David Hally­day, qui semble plus en retrait dans cette affaire, son avocat l'assure « ce n'est pas un va-t-en guerre. Il ne veut pas être exclu de l'héri­tage artis­tique » a confié Carine Piccio avant d'ajou­ter : « Nous ne sommes pas oppo­sés sur le prin­cipe à une média­tion. Mais personne ne nous a contac­tés. »

Crédits photos : Abaca

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Depuis des semaines, le clan Hally­day se déchire autour de l'héri­tage laissé par Johnny Hally­day avant de mourir dans la nuit du 5 décembre décembre 2017. Après un premier acte judi­ciaire le 13 avril dernier, qui s'est soldé par le gel des biens immo­bi­liers du rockeur et le refus d'un droit de regard sur l'album post­hume pour les deux ainés, un deuxième acte concer­nant l'héri­tage de l'idole des jeunes doit se jouer ce jeudi 24 mai.

Au cours de cette nouvelle étape, "il s'agit pour les magis­tratset avocats d'orga­ni­ser le calen­drier de la procé­dure sur le fond qui exami­nera la demande de Laura Smet et David Hally­day de retoquer le testa­ment améri­cain de leur père" rapportent nos confrères du Pari­sien ce jeudi 24 mai. Les juges devraient égale­ment deman­der aux trois parties si elles ne préfèrent pas une média­tion plutôt qu'une procé­dure longue et couteuse.

Dans sa longue inter­view donnée au Point, Laeti­cia Hally­day se disait prête à pardon­ner : « Je les attends les bras ouverts ». Emma­nuel Rava­nas, l'un des avocats de Laura Smet avait appelé à une conci­lia­tion avant le 15 juin, date où Johnny Hally­day aurait fêté ses 75 ans. Mais pour l'heure, aucune négo­cia­tion n'a été enta­mée. Du côté de David Hally­day, qui semble plus en retrait dans cette affaire, son avocat l'assure « ce n'est pas un va-t-en guerre. Il ne veut pas être exclu de l'héri­tage artis­tique » a confié Carine Piccio avant d'ajou­ter : « Nous ne sommes pas oppo­sés sur le prin­cipe à une média­tion. Mais personne ne nous a contac­tés. »

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