Un dernier hommage pour une réalisatrice mondialement célébrée. Les obsèques d’Agnès Varda se tiendront, mardi 2 avril à 14 heures, au cimetière du Montparnasse, a annoncé samedi la Cinémathèque française dans un communiqué. Une cérémonie lui sera également consacrée le même jour à la Cinémathèque, qui déplore la perte d’une « amie incomparable » qui était « capable de faire cinéma de tout » et « n’a cessé de se déplacer et de se réinventer ».
L’annonce de la disparition de la cinéaste âgée de 90 ans, dans la nuit de jeudi à vendredi, a ému de nombreux artistes. Le réalisateur français Claude Lelouch a par exemple salué « une grande dame du cinéma ». L’Américain Martin Scorsese a quant à lui appelé sur Instagram les jeunes réalisateurs à regarder les films d’Agnès Varda, qui « a tracé son propre chemin » grâce à des « films fait main remarquables, avec ce bel équilibre entre documentaire et fiction ».
Une pionnière de la Nouvelle Vague
« Immense cinéaste, photographe et plasticienne, elle va terriblement manquer à la création française », a également déclaré le président français, Emmanuel Macron, dans un message faisant part de ses « condoléances attristées ».
Femme de convictions ayant bâti une œuvre originale, souvent pionnière, à la frontière entre documentaire et fiction, Agnès Varda était l’autrice, notamment, de Cléo de 5 à 7 (1962), Sans toit ni loi (1985), Les Glaneurs et la Glaneuse (2000), Les Plages d’Agnès (2009) ou Visages, villages (2017).
Son premier long-métrage, La Pointe courte (1955), annonçait la Nouvelle Vague, quatre ans avant Les 400 Coups (1959), de François Truffaut, ou Hiroshima mon amour (1959), d’Alain Resnais. « Le jeune cinéma lui doit tout », titrait en 1960 un article de l’hebdomadaire Arts signé Jean Douchet, cinéaste et critique.
Read AgainUn dernier hommage pour une réalisatrice mondialement célébrée. Les obsèques d’Agnès Varda se tiendront, mardi 2 avril à 14 heures, au cimetière du Montparnasse, a annoncé samedi la Cinémathèque française dans un communiqué. Une cérémonie lui sera également consacrée le même jour à la Cinémathèque, qui déplore la perte d’une « amie incomparable » qui était « capable de faire cinéma de tout » et « n’a cessé de se déplacer et de se réinventer ».
L’annonce de la disparition de la cinéaste âgée de 90 ans, dans la nuit de jeudi à vendredi, a ému de nombreux artistes. Le réalisateur français Claude Lelouch a par exemple salué « une grande dame du cinéma ». L’Américain Martin Scorsese a quant à lui appelé sur Instagram les jeunes réalisateurs à regarder les films d’Agnès Varda, qui « a tracé son propre chemin » grâce à des « films fait main remarquables, avec ce bel équilibre entre documentaire et fiction ».
Une pionnière de la Nouvelle Vague
« Immense cinéaste, photographe et plasticienne, elle va terriblement manquer à la création française », a également déclaré le président français, Emmanuel Macron, dans un message faisant part de ses « condoléances attristées ».
Femme de convictions ayant bâti une œuvre originale, souvent pionnière, à la frontière entre documentaire et fiction, Agnès Varda était l’autrice, notamment, de Cléo de 5 à 7 (1962), Sans toit ni loi (1985), Les Glaneurs et la Glaneuse (2000), Les Plages d’Agnès (2009) ou Visages, villages (2017).
Son premier long-métrage, La Pointe courte (1955), annonçait la Nouvelle Vague, quatre ans avant Les 400 Coups (1959), de François Truffaut, ou Hiroshima mon amour (1959), d’Alain Resnais. « Le jeune cinéma lui doit tout », titrait en 1960 un article de l’hebdomadaire Arts signé Jean Douchet, cinéaste et critique.
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