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« Tenet » : On l’a enfin vu et on dit pourquoi il va cartonner en salle - 20 Minutes

Christopher Nolan dirige John David Washington sur «Tenet» — Warner Bros France/Melinda Sue Gordon
  • « Tenet » de Christopher Nolan n’a rien de décevant.
  • Ce film d’espionnage cérébral et spectaculaire est idéal pour retourner en salle.
  • Certains spectateurs pourraient avoir envie de le voir plusieurs fois pour en saisir toutes les subtilités.

Ça y est ! Le voile est levé sur Tenet de Christopher Nolan, le film qui devrait redonner le goût des salles de cinéma aux spectateurs dès les avant-premières lundi et mardi prochain puis lors de sa sortie nationale le 26 août.

Ce film de science-fiction tient ses promesses pendant plus de deux heures trente de projection autour d’agents secrets tentant de sauver le monde. 20 Minutes vous explique pourquoi cette œuvre à la fois atypique et grand public à tout ce qu’il faut pour attirer de nombreux spectateurs vers le grand écran.

Une histoire de temps

Des espions en guerre contre un méchant, on a déjà vu ça plus de cent fois. Mais Christopher Nolan change la donne en jouant avec le temps. Et oui, le réalisateur d’Inception (2010) et d’Interstellar (2015) continue de s’amuser à faire évoluer ses héros au gré d’une narration dont il maîtrise le déroulé comme s’il mettait en scène un Rubik’s Cube grandeur nature. L’intrigue, élaborée par Nolan, est volontairement complexe. On peut avoir envie de revoir le film pour en saisir toutes les subtilités.

Des héros super et un super méchant

John David Washington (le fils de Denzel) est tout bonnement épatant ! Comme Iris Elba semble avoir renoncé à incarner James Bond, il ferait un excellent 007 afro-américain tant il est à son aise dans la discussion comme dans l’action. Robert Pattinson, mystérieux à souhait, l’aide à régler son compte à un homme d’affaires russe. Ce dernier est incarné par le délicieusement pervers Kenneth Branagh assorti d’un accent balkanique sexy quand il menace son épouse jouée par Elizabeth Debicki.

De l’intelligence à foison

Souvent, quand on va voir un blockbuster américain, on laisse ses neurones à la maison. Là, ils font de la gymnastique en permanence et, avouons-le, on se sent brillant quand on comprend comment évolue cette expérimentation temporelle. De toute façon, même si on a été largué, rien n’empêche de prétendre le contraire. Si ça se trouve, les autres spectateurs vont faire pareil. Les discussions seront d’autant plus animées après la projection si tout le monde a sa version de l’histoire.

Des sensations extra-larges

« N’essaye pas de comprendre, ressens » conseille une savante au héros dès le début du film. C’est effectivement une bonne façon d’aborder ce film où les morceaux de bravoure sont nombreux. Déjà, dans Inception, Christopher Dolan se plaisait à considérer les scènes d’action comme un jeu de construction dont il s’amusait à défier les règles pour dérouter le spectateur. Il en remet une louche avec une délectation palpable si bien qu’on se laisse totalement emporter. Ça marche aussi bien à l’endroit qu’à l’envers.

Sur grand écran évidemment

C’est pour des œuvres comme Tenet que les salles de cinéma sont irremplaçables ! La mise en scène est grandiose. Elle perdrait beaucoup en format réduit. En Imax, le film est un choc visuel conséquent mais il est suffisamment spectaculaire pour transporter également le spectateur s’il le découvre sur un écran de taille standard. Vibrer en chœur devant des images sublimes fait un bien fou et laisse augurer d’une rentrée flamboyante côté ciné.

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Christopher Nolan dirige John David Washington sur «Tenet» — Warner Bros France/Melinda Sue Gordon
  • « Tenet » de Christopher Nolan n’a rien de décevant.
  • Ce film d’espionnage cérébral et spectaculaire est idéal pour retourner en salle.
  • Certains spectateurs pourraient avoir envie de le voir plusieurs fois pour en saisir toutes les subtilités.

Ça y est ! Le voile est levé sur Tenet de Christopher Nolan, le film qui devrait redonner le goût des salles de cinéma aux spectateurs dès les avant-premières lundi et mardi prochain puis lors de sa sortie nationale le 26 août.

Ce film de science-fiction tient ses promesses pendant plus de deux heures trente de projection autour d’agents secrets tentant de sauver le monde. 20 Minutes vous explique pourquoi cette œuvre à la fois atypique et grand public à tout ce qu’il faut pour attirer de nombreux spectateurs vers le grand écran.

Une histoire de temps

Des espions en guerre contre un méchant, on a déjà vu ça plus de cent fois. Mais Christopher Nolan change la donne en jouant avec le temps. Et oui, le réalisateur d’Inception (2010) et d’Interstellar (2015) continue de s’amuser à faire évoluer ses héros au gré d’une narration dont il maîtrise le déroulé comme s’il mettait en scène un Rubik’s Cube grandeur nature. L’intrigue, élaborée par Nolan, est volontairement complexe. On peut avoir envie de revoir le film pour en saisir toutes les subtilités.

Des héros super et un super méchant

John David Washington (le fils de Denzel) est tout bonnement épatant ! Comme Iris Elba semble avoir renoncé à incarner James Bond, il ferait un excellent 007 afro-américain tant il est à son aise dans la discussion comme dans l’action. Robert Pattinson, mystérieux à souhait, l’aide à régler son compte à un homme d’affaires russe. Ce dernier est incarné par le délicieusement pervers Kenneth Branagh assorti d’un accent balkanique sexy quand il menace son épouse jouée par Elizabeth Debicki.

De l’intelligence à foison

Souvent, quand on va voir un blockbuster américain, on laisse ses neurones à la maison. Là, ils font de la gymnastique en permanence et, avouons-le, on se sent brillant quand on comprend comment évolue cette expérimentation temporelle. De toute façon, même si on a été largué, rien n’empêche de prétendre le contraire. Si ça se trouve, les autres spectateurs vont faire pareil. Les discussions seront d’autant plus animées après la projection si tout le monde a sa version de l’histoire.

Des sensations extra-larges

« N’essaye pas de comprendre, ressens » conseille une savante au héros dès le début du film. C’est effectivement une bonne façon d’aborder ce film où les morceaux de bravoure sont nombreux. Déjà, dans Inception, Christopher Dolan se plaisait à considérer les scènes d’action comme un jeu de construction dont il s’amusait à défier les règles pour dérouter le spectateur. Il en remet une louche avec une délectation palpable si bien qu’on se laisse totalement emporter. Ça marche aussi bien à l’endroit qu’à l’envers.

Sur grand écran évidemment

C’est pour des œuvres comme Tenet que les salles de cinéma sont irremplaçables ! La mise en scène est grandiose. Elle perdrait beaucoup en format réduit. En Imax, le film est un choc visuel conséquent mais il est suffisamment spectaculaire pour transporter également le spectateur s’il le découvre sur un écran de taille standard. Vibrer en chœur devant des images sublimes fait un bien fou et laisse augurer d’une rentrée flamboyante côté ciné.

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