Le Temps
JEUX OLYMPIQUES - Figure incontournable de la liberté d’expression dans le milieu artistique, l’artiste chinois Ai Weiwei défie une nouvelle fois les institutions avec un doigt d’honneur adressé cette fois au Comité international olympique.
Le journal suisse Le Temps dévoile à sa Une ce samedi 12 février la nouvelle Étude de perspective de l’artiste chinois qui dénonce encore un symbole de pouvoir. Dans un geste mêlant artistique et politique, il réaffirme “son dédain envers une institution qui s’est mise au service de la propagande chinoise”, détaille le journal suisse qui l’a rencontré à Lausanne dans le cadre d’une interview en plein milieu des JO d’hiver de Pékin.
Mais ce doigt d’honneur au CIO, qui ne doit pas être vue comme une simple attaque vulgaire est en réalité l’une des marques de fabrique d’Ai Weiwei qui a déjà réalisé ce geste par le passé devant de nombreux lieux symbolisant le pouvoir. Place Tiananmen, en 1995, il avait pour la première fois adressé ce geste en direction du portrait de Mao Zedong. Par la suite, il avait notamment reproduit ce geste à Washington, à Paris, à Hongkong et même sur la place Fédérale, comme le rappelle Le Temps.
Harcelé dans son pays d’origine, tout comme son père (le poète Ai Qing) avant lui, Ai Weiwei a finalement été contraint à l’exil par le régime chinois et vit depuis sept ans en Europe où il continue d’exercer son art engagé.
Depuis son arrivé en Europe, il a prolongé son combat en s’attaquant, entre autres, aux politiques migratoires européennes. Mais ce nouveau geste en plein Jeux olympiques dans son pays natal réaffirme sa dénonciation des travers des sociétés de l’Occident de ses démocraties prêtes à faire des compromis avec des régimes autoritaires comme celui de la Chine au nom de l’argent.
À voir également sur Le HuffPost: Le président du CIO, Thomas Bach, martèle son soutien à Peng Shuai
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JEUX OLYMPIQUES - Figure incontournable de la liberté d’expression dans le milieu artistique, l’artiste chinois Ai Weiwei défie une nouvelle fois les institutions avec un doigt d’honneur adressé cette fois au Comité international olympique.
Le journal suisse Le Temps dévoile à sa Une ce samedi 12 février la nouvelle Étude de perspective de l’artiste chinois qui dénonce encore un symbole de pouvoir. Dans un geste mêlant artistique et politique, il réaffirme “son dédain envers une institution qui s’est mise au service de la propagande chinoise”, détaille le journal suisse qui l’a rencontré à Lausanne dans le cadre d’une interview en plein milieu des JO d’hiver de Pékin.
Mais ce doigt d’honneur au CIO, qui ne doit pas être vue comme une simple attaque vulgaire est en réalité l’une des marques de fabrique d’Ai Weiwei qui a déjà réalisé ce geste par le passé devant de nombreux lieux symbolisant le pouvoir. Place Tiananmen, en 1995, il avait pour la première fois adressé ce geste en direction du portrait de Mao Zedong. Par la suite, il avait notamment reproduit ce geste à Washington, à Paris, à Hongkong et même sur la place Fédérale, comme le rappelle Le Temps.
Harcelé dans son pays d’origine, tout comme son père (le poète Ai Qing) avant lui, Ai Weiwei a finalement été contraint à l’exil par le régime chinois et vit depuis sept ans en Europe où il continue d’exercer son art engagé.
Depuis son arrivé en Europe, il a prolongé son combat en s’attaquant, entre autres, aux politiques migratoires européennes. Mais ce nouveau geste en plein Jeux olympiques dans son pays natal réaffirme sa dénonciation des travers des sociétés de l’Occident de ses démocraties prêtes à faire des compromis avec des régimes autoritaires comme celui de la Chine au nom de l’argent.
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