
Quelques jours avant la sortie sur les écrans de cinéma du documentaire Salam, l’ancienne chanteuse devenue mère de famille et musulmane a expliqué ses choix de vie sur TF1.
Dix ans déjà que Diam’s a quitté la scène musicale pour retrouver une existence presque anonyme dans l’ombre des projecteurs. Tandis que le documentaire Salam écrit et réalisé avec Houda Benyamina et Anne Cissé sortira sur les écrans de cinéma (dans quelques salles seulement en France les 1er et 2 juillet), l’ex-rappeuse star s’est confiée à Audrey Crespo-Mara ce dimanche dans l’émission «Sept à huit» sur TF1. L’occasion pour Mélanie Georgiades - son vrai nom - de témoigner sur sa nouvelle vie afin de rétablir ses vérités.
» LIRE AUSSI - «Sept à huit»: Mélanie Diam’s se confie à Audrey Crespo-Mara
«J’ai une vie de maman», a-t-elle ainsi expliqué, au moment d’évoquer son quotidien, précisant: «Toute maman vous dira que ça remplit une journée. Aujourd’hui, cette famille, c’est un peu comme un rêve, même si je sais qu’on peut se construire sans». Une façon d’avouer que sa vie d’avant, micro en mains, ne lui manque pas: «Deux heures de concert sur une journée, c’était deux heures où j’oubliais mes problèmes. Mais il y a vingt-deux heures à vivre à côté. Ces vingt-deux heures-là sont insupportables».
Aujourd’hui, celle qui a connu plusieurs séjours en hôpital psychiatrique avant de trouver la paix intérieure grâce à la religion, raconte les yeux brillants: «Être un croyant, tout d’un coup, c’est prendre conscience de la valeur de cette vie. Je ne suis pas sur cette terre pour rien. J’ai plein de belles choses à accomplir, à faire. Faire le bien, déjà. Pour moi, ne faire que le bien, c’est peut-être le plus grand challenge de ma vie.»
« Je ne suis pas qu’une femme voilée, je suis une femme, comme toutes les femmes »
Au sujet de sa conversion à l’Islam et de son choix de porter le voile, Mélanie Diam’s conteste l’interprétation que des photos d’elle sortant d’une mosquée et parues dans les magazines ont pu suggérer: «Ce qui a été dur, c’est qu’on m’a accusée de m’afficher comme ça, de prôner cela. Que les choses soient claires, moi je suis juste allée me recueillir dans un lieu de culte». Et d’ajouter: «Quand on parle d’une musulmane, on ne parle pas que du voile. Et d’ailleurs, je ne suis pas qu’un voile. Je suis une femme. Je ne suis pas qu’une femme voilée, je suis une femme, comme toutes les femmes».
» LIRE AUSSI - Le rap, le succès, les TS, l’islam... Diam’s donne un sens à sa vie avec Salam, présenté à Cannes
Le 30 septembre 2012, c’est devant les caméras du magazine de TF1 que Diam’s était apparue pour la première fois voilée. Ce jour-là, elle avait révélé à Thierry Demaizière son intention de mettre un terme à sa carrière d’artiste. Moins de trois ans plus tard, le 24 mai précisément, c’est de nouveau au journaliste que l’interprète de La Boulette avait fait confiance pour évoquer la sortie de son second livre Mélanie, Française et musulmane. Fin mai, alors que le documentaire Salam, portrait intime qui retrace ses années de triomphe, ses problèmes psychologiques ou sa conversion à l’islam, était présenté en avant-première au Festival de Cannes, l’ex-rappeuse n’avait pas fait le déplacement jusque sur la Croisette. «Je sais que vous n’y avez pas vu du mépris ou du dédain parce que j’ai toujours aimé rencontrer les gens, ce n’est pas vraiment le problème. Mais c’est vraiment par souci peut-être de préserver ce cocon, cette vie simple finalement que j’ai aujourd’hui», s’était-elle justifiée dans une vidéo quelques minutes avant la projection.
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Quelques jours avant la sortie sur les écrans de cinéma du documentaire Salam, l’ancienne chanteuse devenue mère de famille et musulmane a expliqué ses choix de vie sur TF1.
Dix ans déjà que Diam’s a quitté la scène musicale pour retrouver une existence presque anonyme dans l’ombre des projecteurs. Tandis que le documentaire Salam écrit et réalisé avec Houda Benyamina et Anne Cissé sortira sur les écrans de cinéma (dans quelques salles seulement en France les 1er et 2 juillet), l’ex-rappeuse star s’est confiée à Audrey Crespo-Mara ce dimanche dans l’émission «Sept à huit» sur TF1. L’occasion pour Mélanie Georgiades - son vrai nom - de témoigner sur sa nouvelle vie afin de rétablir ses vérités.
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«J’ai une vie de maman», a-t-elle ainsi expliqué, au moment d’évoquer son quotidien, précisant: «Toute maman vous dira que ça remplit une journée. Aujourd’hui, cette famille, c’est un peu comme un rêve, même si je sais qu’on peut se construire sans». Une façon d’avouer que sa vie d’avant, micro en mains, ne lui manque pas: «Deux heures de concert sur une journée, c’était deux heures où j’oubliais mes problèmes. Mais il y a vingt-deux heures à vivre à côté. Ces vingt-deux heures-là sont insupportables».
Aujourd’hui, celle qui a connu plusieurs séjours en hôpital psychiatrique avant de trouver la paix intérieure grâce à la religion, raconte les yeux brillants: «Être un croyant, tout d’un coup, c’est prendre conscience de la valeur de cette vie. Je ne suis pas sur cette terre pour rien. J’ai plein de belles choses à accomplir, à faire. Faire le bien, déjà. Pour moi, ne faire que le bien, c’est peut-être le plus grand challenge de ma vie.»
« Je ne suis pas qu’une femme voilée, je suis une femme, comme toutes les femmes »
Au sujet de sa conversion à l’Islam et de son choix de porter le voile, Mélanie Diam’s conteste l’interprétation que des photos d’elle sortant d’une mosquée et parues dans les magazines ont pu suggérer: «Ce qui a été dur, c’est qu’on m’a accusée de m’afficher comme ça, de prôner cela. Que les choses soient claires, moi je suis juste allée me recueillir dans un lieu de culte». Et d’ajouter: «Quand on parle d’une musulmane, on ne parle pas que du voile. Et d’ailleurs, je ne suis pas qu’un voile. Je suis une femme. Je ne suis pas qu’une femme voilée, je suis une femme, comme toutes les femmes».
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Le 30 septembre 2012, c’est devant les caméras du magazine de TF1 que Diam’s était apparue pour la première fois voilée. Ce jour-là, elle avait révélé à Thierry Demaizière son intention de mettre un terme à sa carrière d’artiste. Moins de trois ans plus tard, le 24 mai précisément, c’est de nouveau au journaliste que l’interprète de La Boulette avait fait confiance pour évoquer la sortie de son second livre Mélanie, Française et musulmane. Fin mai, alors que le documentaire Salam, portrait intime qui retrace ses années de triomphe, ses problèmes psychologiques ou sa conversion à l’islam, était présenté en avant-première au Festival de Cannes, l’ex-rappeuse n’avait pas fait le déplacement jusque sur la Croisette. «Je sais que vous n’y avez pas vu du mépris ou du dédain parce que j’ai toujours aimé rencontrer les gens, ce n’est pas vraiment le problème. Mais c’est vraiment par souci peut-être de préserver ce cocon, cette vie simple finalement que j’ai aujourd’hui», s’était-elle justifiée dans une vidéo quelques minutes avant la projection.
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