Une expérience hors-norme. Voilà ce qu'a vécu Hélène Mannarino lors du tournage de Messmer, le record du monde diffusée ce vendredi 7 avril sur TF1 où elle a été invitée par le fascinateur à monter sur scène. En compagnie de Baptiste Giabiconi et Amandine Petit, l'animatrice de C'est Canteloup a vu son corps se raidir sous l'impulsion de l'hypnotiseur. Solide comme un roc, elle a été positionnée en position couchée entre deux chaises et Bellair, la compagne de Messmer, lui est grimpée dessus. À la suite de cette épreuve, en fin d'émission, Hélène Mannarino a été évacuée l'espace de quelques instants afin de reprendre ses esprits. "Je suis tellement réceptive que j'avais besoin de sortir, j'avais besoin de retrouver les gens qui m'avaient accompagnée", confie-t-elle à Télé-Loisirs.
Hélène Mannarino : "J'ai senti le corps qui lâche, la tête qui tourne, l'envie de dormir"
Télé-Loisirs : Avant même le début de l'émission, vous ne vous sentiez pas bien… Comment vous l'expliquez ?
Hélène Mannarino : J'ai vu Messmer avant le début de l'émission, il voulait voir si on était réceptifs ou pas. Il m'a déjà hypnotisée plusieurs fois en tournage, il m'a hypnotisée à la fin de son Portrait inattendu sur Europe 1, donc on a une connexion extrêmement forte. Dès que je le regarde, il y a un truc qui se passe. Quand je m'installe, je suis déjà connectée avec lui. Je ne sais pas ce qu'il va nous faire, il y a une vraie interrogation.
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Y a-t-il un moment où vous perdez le contrôle de vos moyens ?
Ça se fait progressivement, on ne s'en rend pas forcément compte. On est conscients de ce qu'il se passe mais je ne contrôle pas. Je me suis sentie de plus en plus fatiguée, j'ai eu vraiment envie de dormir à un moment donné alors que j'étais assise et que je n'étais pas encore montée sur scène. J'ai senti le corps qui lâche, la tête qui tourne, l'envie de dormir. Je ne me rends pas compte, je vois juste que je ne capte plus grand-chose.
Hélène Mannarino victime d'un petit malaise sur le plateau de TF1 : "Je ne suis pas maîtresse de mon corps"
Vous faites la planche entre deux chaises et la femme de Messmer grimpe sur vous. Comment avez-vous vécu cette séquence ?
J'ai conscience de tout, je me souviens de tout mais je ne maîtrise rien. Je ne suis pas maîtresse de mon corps. C'est Messmer qui a le contrôle de ce que je fais. Mais j'entends les commentaires de mes camarades, je ne suis pas endormie. Je ne ressens pas de douleur, je me souviens de serrer mes poings très forts, je me souviens de la sensation du pied de sa compagne sur mon ventre. Mais je n'ai pas mal.
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Quel souvenir gardez-vous de l'émission ?
C'est une expérience hors du commun. J'ai trouvé ça hallucinant et j'ai été impressionnée par l'émission même si je n'ai pas tout capté. On passe par plein d'émotions. Avec les personnalités, on se connaissait, et il y avait beaucoup de bienveillance entre nous. On était tous connectés ensemble, c''était important de se soutenir. D'ailleurs, j'étais très fière de voir Karima Charni dans cet exercice-là ! Derrière, j'ai appelé mes proches et leur expliquer ce qu'il s'est passé.
Hélène Mannarino se confie sur son expérience dans Messmer, le record du monde : "Je ne pouvais plus rester"
A-t-on peur de Messmer quand on participe à une telle émission ?
Messmer est quelqu'un d'extrêmement gentil et bienveillant, il respecte et écoute, il ne va pas au-delà de nos limites. À un moment, je suis sortie pendant l'émission parce que je ne pouvais plus rester. Quand je suis revenue, j'ai vu dans son regard qu'il me demandait si ça allait. Ce n'est pas un sorcier !
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Que s'est-il passé ?
Il y a eu une sensation d'étouffement de ma part. Il fallait que je sorte. Je suis tellement réceptive que j'avais besoin de sortir, je n'étais plus maîtresse de quoi que ce soit, j'avais besoin de retrouver les gens qui m'avaient accompagnée. C'était un besoin d'air.
Êtes-vous prête à retenter l'expérience ?
Avec Messmer, oui, parce qu'on n'est pas en danger. Dans les conditions dans lesquelles on a tourné avec Arthur, les copains, oui. En revanche, je ferai en sorte de ne pas avoir de tournage le lendemain et de pouvoir partir en vacances (rires). Peut-être pas tout de suite… mais oui !
Une expérience hors-norme. Voilà ce qu'a vécu Hélène Mannarino lors du tournage de Messmer, le record du monde diffusée ce vendredi 7 avril sur TF1 où elle a été invitée par le fascinateur à monter sur scène. En compagnie de Baptiste Giabiconi et Amandine Petit, l'animatrice de C'est Canteloup a vu son corps se raidir sous l'impulsion de l'hypnotiseur. Solide comme un roc, elle a été positionnée en position couchée entre deux chaises et Bellair, la compagne de Messmer, lui est grimpée dessus. À la suite de cette épreuve, en fin d'émission, Hélène Mannarino a été évacuée l'espace de quelques instants afin de reprendre ses esprits. "Je suis tellement réceptive que j'avais besoin de sortir, j'avais besoin de retrouver les gens qui m'avaient accompagnée", confie-t-elle à Télé-Loisirs.
Hélène Mannarino : "J'ai senti le corps qui lâche, la tête qui tourne, l'envie de dormir"
Télé-Loisirs : Avant même le début de l'émission, vous ne vous sentiez pas bien… Comment vous l'expliquez ?
Hélène Mannarino : J'ai vu Messmer avant le début de l'émission, il voulait voir si on était réceptifs ou pas. Il m'a déjà hypnotisée plusieurs fois en tournage, il m'a hypnotisée à la fin de son Portrait inattendu sur Europe 1, donc on a une connexion extrêmement forte. Dès que je le regarde, il y a un truc qui se passe. Quand je m'installe, je suis déjà connectée avec lui. Je ne sais pas ce qu'il va nous faire, il y a une vraie interrogation.
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Y a-t-il un moment où vous perdez le contrôle de vos moyens ?
Ça se fait progressivement, on ne s'en rend pas forcément compte. On est conscients de ce qu'il se passe mais je ne contrôle pas. Je me suis sentie de plus en plus fatiguée, j'ai eu vraiment envie de dormir à un moment donné alors que j'étais assise et que je n'étais pas encore montée sur scène. J'ai senti le corps qui lâche, la tête qui tourne, l'envie de dormir. Je ne me rends pas compte, je vois juste que je ne capte plus grand-chose.
Hélène Mannarino victime d'un petit malaise sur le plateau de TF1 : "Je ne suis pas maîtresse de mon corps"
Vous faites la planche entre deux chaises et la femme de Messmer grimpe sur vous. Comment avez-vous vécu cette séquence ?
J'ai conscience de tout, je me souviens de tout mais je ne maîtrise rien. Je ne suis pas maîtresse de mon corps. C'est Messmer qui a le contrôle de ce que je fais. Mais j'entends les commentaires de mes camarades, je ne suis pas endormie. Je ne ressens pas de douleur, je me souviens de serrer mes poings très forts, je me souviens de la sensation du pied de sa compagne sur mon ventre. Mais je n'ai pas mal.
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C'est une expérience hors du commun. J'ai trouvé ça hallucinant et j'ai été impressionnée par l'émission même si je n'ai pas tout capté. On passe par plein d'émotions. Avec les personnalités, on se connaissait, et il y avait beaucoup de bienveillance entre nous. On était tous connectés ensemble, c''était important de se soutenir. D'ailleurs, j'étais très fière de voir Karima Charni dans cet exercice-là ! Derrière, j'ai appelé mes proches et leur expliquer ce qu'il s'est passé.
Hélène Mannarino se confie sur son expérience dans Messmer, le record du monde : "Je ne pouvais plus rester"
A-t-on peur de Messmer quand on participe à une telle émission ?
Messmer est quelqu'un d'extrêmement gentil et bienveillant, il respecte et écoute, il ne va pas au-delà de nos limites. À un moment, je suis sortie pendant l'émission parce que je ne pouvais plus rester. Quand je suis revenue, j'ai vu dans son regard qu'il me demandait si ça allait. Ce n'est pas un sorcier !
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Que s'est-il passé ?
Il y a eu une sensation d'étouffement de ma part. Il fallait que je sorte. Je suis tellement réceptive que j'avais besoin de sortir, je n'étais plus maîtresse de quoi que ce soit, j'avais besoin de retrouver les gens qui m'avaient accompagnée. C'était un besoin d'air.
Êtes-vous prête à retenter l'expérience ?
Avec Messmer, oui, parce qu'on n'est pas en danger. Dans les conditions dans lesquelles on a tourné avec Arthur, les copains, oui. En revanche, je ferai en sorte de ne pas avoir de tournage le lendemain et de pouvoir partir en vacances (rires). Peut-être pas tout de suite… mais oui !
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