- Isabelle Ithurburu présente désormais « 50 minutes inside », dès ce samedi 2 septembre à 17h50 sur TF1.
- Elle animera également « Le Mag » tout au long de la Coupe du monde de rugby, à partir du 8 septembre.
- « Nikos m’a félicitée, souhaitée bonne chance et surtout donnée quelques conseils, simples mais essentiels, sur le fait que je devais rester fidèle à ce que je sais faire et à qui je suis, que cela allait bien se passer. Et surtout il m’a dit qu’il était là s’il y avait besoin de quoi que ce soit pour m’aider. Très classe et sympathique ! », confie Isabelle Ithurburu
Rentrée chargée pour Isabelle Ithurburu. Dès aujourd’hui, elle prend le relais de Nikos à la présentation de « 50 minutes inside » sur TF1. Sans oublier « Le Mag » qui démarre ce vendredi 8 septembre avec la Coupe du monde de rugby. Transfert surprise de la fin de saison dernière, la journaliste-animatrice a œuvré quatorze ans sur Canal+, dont huit à la présentation du « Canal rugby club ». De sa voix qui laisse poindre un léger accent du Sud-Ouest, Isabelle Ithurburu nous dévoile ses nouvelles missions sur la Une.
Comment abordez-vous cette rentrée ?
Il y a un mélange d’appréhension et d’excitation avec la Coupe du monde qui s’annonce historique. Puis ça fait toujours du bien le changement. Après 14 ans à Canal+, je me mets un peu en danger. Bon, c’est un bien grand mot, évidemment il n’y a rien de très grave, mais je vais démarrer sur plusieurs tableaux, dont « 50 minutes inside » qui est vraiment très nouveau pour moi.
Ce changement, vous en aviez besoin ?
Pas « besoin » car je n’avais pas de manque mais j’en ai eu envie quand il m’a été proposé. C’est un peu différent car vraiment, ce n’est pas venu de moi. Au contraire, ça m’a coûté, vraiment coûté, de prendre cette décision, de l’assumer après, de dire au revoir… Donc ce n’est pas un besoin, j’aurai pu continuer à faire ça pendant des années en étant très heureuse.
Finalement, qu’est-ce qui a fait pencher la balance en faveur de TF1 ?
Vraiment, le point le plus important, c’était la possibilité de faire autre chose à côté du rugby, la possibilité de découvrir d’autres domaines.
Par le passé, vous avez présenté « Le Tube » ou « Bonsoir ! ». Pourquoi est-ce important pour vous de ne pas vous limiter au sport ?
En fait, je ne sais pas vraiment… Je dis toujours que ce métier m’est un peu tombé dessus. Déjà, en me consacrant uniquement au rugby, j’ai l’impression que c’est comme un cadeau de travailler dans le domaine dans lequel j’exerce. Après j’ai toujours envie de faire plus. C’est un peu compliqué car je ne me suis jamais vue comme une journaliste sportive, comparé à d’autres collègues dont c’était le rêve depuis tout petit. Moi, je ne m’imaginais pas faire ça, c’est arrivé. En fait, c’est l’envie de voir : si j’ai su faire ça, est-ce que je saurai faire cela ? Et puis peut-être ça ? Il ne faut pas rester sur ses acquis et toujours essayer des choses nouvelles.
Quel était votre rêve si ce n’était pas d’être journaliste ?
Mes parents étaient épiciers, il n’y avait pas de gros moyens donc le but était de faire des études qui me permettent de travailler le plus vite possible. Je voulais gagner ma vie pour voyager, pouvoir faire des choses. Il se trouve que le hasard de la vie m’a fait trouver un travail qui n’en est pas un car journaliste sportive, dans sa discipline de prédilection, ce n’est pas un travail. Je vis des choses géniales au jour le jour depuis quatorze ans. Tout ce que je fais, c’est pour essayer de perdurer là-dedans.
Cela vous a étonné que TF1 pense à vous pour ces deux missions ?
Pas cette fois-ci. Ils étaient déjà venus me voir deux fois autour de la Coupe du monde de rugby. Donc il y avait une logique, même si je pensais qu’ils ne reviendraient plus parce que je prenais de l’âge et que j’avais déjà dit non deux fois. Je pensais qu’ils étaient passés à autre chose. Donc ce qui m’a plus étonnée, c’est qu’ils aient une vision à long terme et bien au-delà du rugby pour moi, car moi-même je ne suis pas encore sûre d’être ni capable, ni légitime.
Quand on rejoint une nouvelle chaîne, est-ce que des animateurs et journalistes se manifestent pour vous souhaiter la bienvenue ?
Oui, beaucoup. En fait cela m’a fait prendre conscience qu’il y avait beaucoup de gens du Sud-Ouest sur TF1 ! Je pense à Marie-Sophie Lacarrau et Bixente Lizarazu. J’ai eu évidemment Grégoire Margotton que je connaissais de Canal+. Il y a eu Denis Brogniart, Anne-Claire Coudray qui m’a envoyé un très joli message, etc. Et Nikos évidemment.
Que vous a-t-il dit ?
Il m’a félicitée, souhaitée bonne chance et surtout donnée quelques conseils, simples mais essentiels, sur le fait que je ne devais pas avoir peur, que je devais rester fidèle à ce que je sais faire et à qui je suis, que cela allait bien se passer. Et surtout il m’a dit qu’il était là s’il y avait besoin de quoi que ce soit pour m’aider, que je n’hésite pas. Très classe et sympathique !
Comment fait-on pour succéder à quelqu’un qui a incarné une émission pendant seize ans ?
Et surtout quelqu’un qui s’appelle Nikos ! A la fois, il a complètement marqué cette émission, et en plus ce n’est pas n’importe qui. Pour moi, c’est l’animateur le plus charismatique de la télé aujourd’hui en France, le plus connu, le plus apprécié. Donc comment on fait ? Je ne sais pas, je n’ai pas le choix (rire) ! C’est pour cela qu’il a été hypercool de me rappeler juste l’essentiel, rester moi-même, c’est-à-dire, justement, ne pas essayer de copier et d’être authentique comme lui l’est depuis des années. Pour moi, c’est ce qui a marché dans le rugby, donc je pense qu’il ne faut pas que je perde ça de vue. En tout cas, je ne peux pas me comparer à lui du tout, donc on repart à zéro et voilà.
Votre arrivée annonce-t-elle d’autres nouveautés dans l’émission ?
Non. C’est déjà un assez grand changement quand une saison débute et que ce n’est plus le même animateur. Evidemment il y aura un changement dans le sens où je ne suis pas Nikos. Ne serait-ce que dans l’interview, je n’ai pas du tout le rapport qu’il a aux célébrités. Neuf invités sur dix ne me connaissent pas avant notre rencontre. Ceux qui me connaissent ne m’ont jamais vu faire autre chose que du rugby. Rien que cela va faire que ce sera différent dans le ton. Mais je ne vais pas révolutionner une émission qui marche très bien.
Comment définiriez-vous votre style en interview ?
Je dirai que je suis plutôt spontanée et dans l’empathie, l’émotion. Le but, c’est de prendre le temps de découvrir la personne.
Avez-vous des modèles en la matière ?
J’ai beaucoup regardé Nikos en me mettant une belle pression ! Dans l’absolu, j’aime les intervieweurs qui mettent en avant l’invité. Je pense à Michel Denisot, que je trouve chirurgical et excellent. Il parle très peu et tombe juste, il n’a pas besoin d’en faire des caisses. Nikos est comme ça également.
Vous prenez les commandes de « 50 minutes inside » ce 2 septembre puis vous enchaînez le vendredi 8 septembre avec la Coupe du monde de rugby. La semaine s’annonce assez chargée. Quel sentiment prédomine ?
Au début, j’étais excitée. Là je commence à voir la masse de travail et de stress, de rendez-vous, de répétitions… Ça me paraît une montagne, mais j’ai vraiment hâte que cela démarre.
En quoi consiste « Le Mag » que vous présentez ?
C’est un après-match, donc priorité au résumé et à l’analyse du match qu’on vient de suivre. Evidemment il y a aussi une très grande page consacrée aux Bleus. On a la chance d’avoir Matthieu Dupont, un journaliste qui est au cœur de l’équipe de France depuis le début de la préparation et ce jusqu’à la fin de la Coupe du monde. Du coup, chaque soir on mettra vraiment en avant cette exclusivité. Le tout sur un ton que j’apprécie, celui de la convivialité avec les anciens joueurs et joueuses qui seront là, quelque chose qui évoque une bande de copains.
Comment allez-vous faire pour vous adresser aux spécialistes et aux néophytes en même temps ?
C’est un peu la complexité de l’exercice. Avec « Le Canal Rugby Club », j’avais déjà commencé ce travail. Il n’est pas très compliqué pour moi car j’ai beau être passionnée de rugby, je ne sais pas encore tout, je n’ai pas les tenants et les aboutissants de toutes les règles, je n’ai jamais joué au rugby. Par contre, j’adore ce sport. Mon but, c’est de transmettre cette passion à tout le monde. Donc il faut respecter l’expert qui a envie de comprendre des choses un peu pointues, mais il faut vraiment aussi profiter de cet évènement pour communiquer cet amour du rugby même à des gens qui, à ce jour, n’auraient vu que deux ou trois matchs.
Comment est-elle née cette passion justement ?
Lors de la coupe du monde 1999 et du match France – Nouvelle-Zélande qu’on a miraculeusement gagné. Jusqu’à ce jour, j’avais regardé de loin quelques matchs avec mon père, sans trop comprendre et sans trop aimer non plus, mais j’avais une curiosité quand même donc il m’avait dit : « Si tu veux voir un match, c’est celui-là ». Du coup, on s’est assis devant cette rencontre et cela a été la révélation. J’avais 16 ans et à partir de là, j’ai adoré ce sport.
Après le 28 octobre, donc après la Coupe du monde de rugby, avez-vous d’autres projets avec TF1 ?
On verra à ce moment-là. J’ai demandé à y aller très doucement parce que la rentrée est très chargée. Je ne vais pas griller les étapes. Je sais qu’en novembre, on aura le temps de se poser et de réfléchir, en tout cas l’idée à plus ou moins long terme est de faire d’autres choses à côté de « 50 minutes inside ».
- Isabelle Ithurburu présente désormais « 50 minutes inside », dès ce samedi 2 septembre à 17h50 sur TF1.
- Elle animera également « Le Mag » tout au long de la Coupe du monde de rugby, à partir du 8 septembre.
- « Nikos m’a félicitée, souhaitée bonne chance et surtout donnée quelques conseils, simples mais essentiels, sur le fait que je devais rester fidèle à ce que je sais faire et à qui je suis, que cela allait bien se passer. Et surtout il m’a dit qu’il était là s’il y avait besoin de quoi que ce soit pour m’aider. Très classe et sympathique ! », confie Isabelle Ithurburu
Rentrée chargée pour Isabelle Ithurburu. Dès aujourd’hui, elle prend le relais de Nikos à la présentation de « 50 minutes inside » sur TF1. Sans oublier « Le Mag » qui démarre ce vendredi 8 septembre avec la Coupe du monde de rugby. Transfert surprise de la fin de saison dernière, la journaliste-animatrice a œuvré quatorze ans sur Canal+, dont huit à la présentation du « Canal rugby club ». De sa voix qui laisse poindre un léger accent du Sud-Ouest, Isabelle Ithurburu nous dévoile ses nouvelles missions sur la Une.
Comment abordez-vous cette rentrée ?
Il y a un mélange d’appréhension et d’excitation avec la Coupe du monde qui s’annonce historique. Puis ça fait toujours du bien le changement. Après 14 ans à Canal+, je me mets un peu en danger. Bon, c’est un bien grand mot, évidemment il n’y a rien de très grave, mais je vais démarrer sur plusieurs tableaux, dont « 50 minutes inside » qui est vraiment très nouveau pour moi.
Ce changement, vous en aviez besoin ?
Pas « besoin » car je n’avais pas de manque mais j’en ai eu envie quand il m’a été proposé. C’est un peu différent car vraiment, ce n’est pas venu de moi. Au contraire, ça m’a coûté, vraiment coûté, de prendre cette décision, de l’assumer après, de dire au revoir… Donc ce n’est pas un besoin, j’aurai pu continuer à faire ça pendant des années en étant très heureuse.
Finalement, qu’est-ce qui a fait pencher la balance en faveur de TF1 ?
Vraiment, le point le plus important, c’était la possibilité de faire autre chose à côté du rugby, la possibilité de découvrir d’autres domaines.
Par le passé, vous avez présenté « Le Tube » ou « Bonsoir ! ». Pourquoi est-ce important pour vous de ne pas vous limiter au sport ?
En fait, je ne sais pas vraiment… Je dis toujours que ce métier m’est un peu tombé dessus. Déjà, en me consacrant uniquement au rugby, j’ai l’impression que c’est comme un cadeau de travailler dans le domaine dans lequel j’exerce. Après j’ai toujours envie de faire plus. C’est un peu compliqué car je ne me suis jamais vue comme une journaliste sportive, comparé à d’autres collègues dont c’était le rêve depuis tout petit. Moi, je ne m’imaginais pas faire ça, c’est arrivé. En fait, c’est l’envie de voir : si j’ai su faire ça, est-ce que je saurai faire cela ? Et puis peut-être ça ? Il ne faut pas rester sur ses acquis et toujours essayer des choses nouvelles.
Quel était votre rêve si ce n’était pas d’être journaliste ?
Mes parents étaient épiciers, il n’y avait pas de gros moyens donc le but était de faire des études qui me permettent de travailler le plus vite possible. Je voulais gagner ma vie pour voyager, pouvoir faire des choses. Il se trouve que le hasard de la vie m’a fait trouver un travail qui n’en est pas un car journaliste sportive, dans sa discipline de prédilection, ce n’est pas un travail. Je vis des choses géniales au jour le jour depuis quatorze ans. Tout ce que je fais, c’est pour essayer de perdurer là-dedans.
Cela vous a étonné que TF1 pense à vous pour ces deux missions ?
Pas cette fois-ci. Ils étaient déjà venus me voir deux fois autour de la Coupe du monde de rugby. Donc il y avait une logique, même si je pensais qu’ils ne reviendraient plus parce que je prenais de l’âge et que j’avais déjà dit non deux fois. Je pensais qu’ils étaient passés à autre chose. Donc ce qui m’a plus étonnée, c’est qu’ils aient une vision à long terme et bien au-delà du rugby pour moi, car moi-même je ne suis pas encore sûre d’être ni capable, ni légitime.
Quand on rejoint une nouvelle chaîne, est-ce que des animateurs et journalistes se manifestent pour vous souhaiter la bienvenue ?
Oui, beaucoup. En fait cela m’a fait prendre conscience qu’il y avait beaucoup de gens du Sud-Ouest sur TF1 ! Je pense à Marie-Sophie Lacarrau et Bixente Lizarazu. J’ai eu évidemment Grégoire Margotton que je connaissais de Canal+. Il y a eu Denis Brogniart, Anne-Claire Coudray qui m’a envoyé un très joli message, etc. Et Nikos évidemment.
Que vous a-t-il dit ?
Il m’a félicitée, souhaitée bonne chance et surtout donnée quelques conseils, simples mais essentiels, sur le fait que je ne devais pas avoir peur, que je devais rester fidèle à ce que je sais faire et à qui je suis, que cela allait bien se passer. Et surtout il m’a dit qu’il était là s’il y avait besoin de quoi que ce soit pour m’aider, que je n’hésite pas. Très classe et sympathique !
Comment fait-on pour succéder à quelqu’un qui a incarné une émission pendant seize ans ?
Et surtout quelqu’un qui s’appelle Nikos ! A la fois, il a complètement marqué cette émission, et en plus ce n’est pas n’importe qui. Pour moi, c’est l’animateur le plus charismatique de la télé aujourd’hui en France, le plus connu, le plus apprécié. Donc comment on fait ? Je ne sais pas, je n’ai pas le choix (rire) ! C’est pour cela qu’il a été hypercool de me rappeler juste l’essentiel, rester moi-même, c’est-à-dire, justement, ne pas essayer de copier et d’être authentique comme lui l’est depuis des années. Pour moi, c’est ce qui a marché dans le rugby, donc je pense qu’il ne faut pas que je perde ça de vue. En tout cas, je ne peux pas me comparer à lui du tout, donc on repart à zéro et voilà.
Votre arrivée annonce-t-elle d’autres nouveautés dans l’émission ?
Non. C’est déjà un assez grand changement quand une saison débute et que ce n’est plus le même animateur. Evidemment il y aura un changement dans le sens où je ne suis pas Nikos. Ne serait-ce que dans l’interview, je n’ai pas du tout le rapport qu’il a aux célébrités. Neuf invités sur dix ne me connaissent pas avant notre rencontre. Ceux qui me connaissent ne m’ont jamais vu faire autre chose que du rugby. Rien que cela va faire que ce sera différent dans le ton. Mais je ne vais pas révolutionner une émission qui marche très bien.
Comment définiriez-vous votre style en interview ?
Je dirai que je suis plutôt spontanée et dans l’empathie, l’émotion. Le but, c’est de prendre le temps de découvrir la personne.
Avez-vous des modèles en la matière ?
J’ai beaucoup regardé Nikos en me mettant une belle pression ! Dans l’absolu, j’aime les intervieweurs qui mettent en avant l’invité. Je pense à Michel Denisot, que je trouve chirurgical et excellent. Il parle très peu et tombe juste, il n’a pas besoin d’en faire des caisses. Nikos est comme ça également.
Vous prenez les commandes de « 50 minutes inside » ce 2 septembre puis vous enchaînez le vendredi 8 septembre avec la Coupe du monde de rugby. La semaine s’annonce assez chargée. Quel sentiment prédomine ?
Au début, j’étais excitée. Là je commence à voir la masse de travail et de stress, de rendez-vous, de répétitions… Ça me paraît une montagne, mais j’ai vraiment hâte que cela démarre.
En quoi consiste « Le Mag » que vous présentez ?
C’est un après-match, donc priorité au résumé et à l’analyse du match qu’on vient de suivre. Evidemment il y a aussi une très grande page consacrée aux Bleus. On a la chance d’avoir Matthieu Dupont, un journaliste qui est au cœur de l’équipe de France depuis le début de la préparation et ce jusqu’à la fin de la Coupe du monde. Du coup, chaque soir on mettra vraiment en avant cette exclusivité. Le tout sur un ton que j’apprécie, celui de la convivialité avec les anciens joueurs et joueuses qui seront là, quelque chose qui évoque une bande de copains.
Comment allez-vous faire pour vous adresser aux spécialistes et aux néophytes en même temps ?
C’est un peu la complexité de l’exercice. Avec « Le Canal Rugby Club », j’avais déjà commencé ce travail. Il n’est pas très compliqué pour moi car j’ai beau être passionnée de rugby, je ne sais pas encore tout, je n’ai pas les tenants et les aboutissants de toutes les règles, je n’ai jamais joué au rugby. Par contre, j’adore ce sport. Mon but, c’est de transmettre cette passion à tout le monde. Donc il faut respecter l’expert qui a envie de comprendre des choses un peu pointues, mais il faut vraiment aussi profiter de cet évènement pour communiquer cet amour du rugby même à des gens qui, à ce jour, n’auraient vu que deux ou trois matchs.
Comment est-elle née cette passion justement ?
Lors de la coupe du monde 1999 et du match France – Nouvelle-Zélande qu’on a miraculeusement gagné. Jusqu’à ce jour, j’avais regardé de loin quelques matchs avec mon père, sans trop comprendre et sans trop aimer non plus, mais j’avais une curiosité quand même donc il m’avait dit : « Si tu veux voir un match, c’est celui-là ». Du coup, on s’est assis devant cette rencontre et cela a été la révélation. J’avais 16 ans et à partir de là, j’ai adoré ce sport.
Après le 28 octobre, donc après la Coupe du monde de rugby, avez-vous d’autres projets avec TF1 ?
On verra à ce moment-là. J’ai demandé à y aller très doucement parce que la rentrée est très chargée. Je ne vais pas griller les étapes. Je sais qu’en novembre, on aura le temps de se poser et de réfléchir, en tout cas l’idée à plus ou moins long terme est de faire d’autres choses à côté de « 50 minutes inside ».
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