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Disque de diamant
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L’affaire a été annoncée comme tombée d’une voiture, en plein virage : les Rolling Stones en direct sur YouTube, devant tout le monde, pour annoncer tout un barouf – nouvel album, nouveau single. Nouvelle ère aussi, précisaient certaines invitations à l’événement. C’est-à-dire que tout est à refaire : les Rolling Stones ont perdu il y a deux ans un de leurs membres fondateurs, un des plus emblématiques et appréciés, le batteur Charlie Watts, sa classe naturelle, son profil d’oiseau de proie, son jeu toujours subtilement «à côté». Ils n’ont aussi, surtout, pas sorti d’album de compositions originales depuis dix-huit ans et le plutôt correct A Bigger Bang en 2005 – juste un disque de reprises blues en 2016 et quelques enregistrements live dans l’intervalle.
Sur le teaser balancé mardi 5 septembre, l’humoriste et animateur américain Jimmy Fallon, dépêché à Londres pour assurer le show en mondovision, balayait d’ailleurs pas mal de poussière : celle recouvrant son vinyle d’Exile on Main Street (point culminant paru en 1972), puis celle de son vieux téléphone, sur lequel l’appelaient Mick Jagger, Keith Richards et Ronnie Wood. Avant de débouler vingt-quatre heures plus tard sur la scène du Hackney Empire dans l’Est londonien, pour un live ultrafluide et millimétré devant un parterre de journalistes et d’invités : aucun
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L’affaire a été annoncée comme tombée d’une voiture, en plein virage : les Rolling Stones en direct sur YouTube, devant tout le monde, pour annoncer tout un barouf – nouvel album, nouveau single. Nouvelle ère aussi, précisaient certaines invitations à l’événement. C’est-à-dire que tout est à refaire : les Rolling Stones ont perdu il y a deux ans un de leurs membres fondateurs, un des plus emblématiques et appréciés, le batteur Charlie Watts, sa classe naturelle, son profil d’oiseau de proie, son jeu toujours subtilement «à côté». Ils n’ont aussi, surtout, pas sorti d’album de compositions originales depuis dix-huit ans et le plutôt correct A Bigger Bang en 2005 – juste un disque de reprises blues en 2016 et quelques enregistrements live dans l’intervalle.
Sur le teaser balancé mardi 5 septembre, l’humoriste et animateur américain Jimmy Fallon, dépêché à Londres pour assurer le show en mondovision, balayait d’ailleurs pas mal de poussière : celle recouvrant son vinyle d’Exile on Main Street (point culminant paru en 1972), puis celle de son vieux téléphone, sur lequel l’appelaient Mick Jagger, Keith Richards et Ronnie Wood. Avant de débouler vingt-quatre heures plus tard sur la scène du Hackney Empire dans l’Est londonien, pour un live ultrafluide et millimétré devant un parterre de journalistes et d’invités : aucun
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