- Juju Fitcats est la nouvelle présentatrice de « La France a un incroyable talent, ça continue », qui débute ce mardi 24 octobre sur M6.
- Elle succède à Pierre-Antoine Damecour qui avait annoncé en juillet dernier quitter l’émission qu’il animait depuis 2020.
- « La nuit avant le premier tournage, j’avoue, je n’ai pas pu dormir car c’est tout nouveau pour moi. Je suis habituée à travailler sur mes propres médias (YouTube, Instagram et les autres réseaux) et on a la chance en tant que créateur de contenus de vraiment gérer à 100 % notre image et tout ce qu’on fait. La télé, c’est un nouvel univers, ce sont de nouvelles personnes avec lesquelles on travaille, donc il faut réussir à faire confiance », confie-t-elle.
Juju Fitcats court un peu partout en cet après-midi de septembre. Aujourd’hui, c’est la dernière session d’auditions au Théâtre André Malraux de Rueil-Malmaison, et la youtubeuse interviewe des candidats qui sortent de scène, puis file mettre en boîte une réaction à un message d’Eric Antoine pour les réseaux sociaux. Sans oublier qu’elle s’est jointe cinq minutes auparavant à une immense chenille dirigée par un talent face au jury, toujours constitué de Marianne James, Hélène Ségara, Sugar Sammy et Eric Antoine. C’est d’ailleurs ce dernier qui a soufflé à la production le nom de la gagnante des « Traîtres », émission qu’il a présentée. Energique, souriante, particulièrement à l’aise pour une débutante sur le petit écran, celle qui cumule 2,98 millions d’abonnés sur sa chaîne YouTube ou 3,3 millions sur Instagram a, de toute évidence, rapidement trouver ses marques sur un plateau télé. Entre deux séquences à mettre en boîte, elle a livré à quelques journalistes ses premières impressions.
Comment êtes-vous arrivée sur ce programme ?
En toute honnêteté, je pense que « Les Traîtres » y sont pour beaucoup puisque c’était ma première grosse expérience télé. Je me suis bien entendue avec les équipes de prod et avec Eric Antoine qui, je pense, a dû appuyer mon profil.
Votre impression sur les premiers tournages ?
Très bien. Au début, j’étais très stressée. La nuit avant le premier tournage, j’avoue, je n’ai pas pu dormir car c’est tout nouveau pour moi. Je suis habituée à travailler sur mes propres médias (YouTube, Instagram et les autres réseaux) et on a la chance en tant que créateur de contenus de vraiment gérer à 100 % notre image et tout ce qu’on fait. La télé, c’est un nouvel univers, ce sont de nouvelles personnes avec lesquelles on travaille, donc il faut réussir à faire confiance. Après, M6, cela fait longtemps que je les connais, donc je savais où je mettais les pieds. J’ai eu Eric Antoine au téléphone qui m’a pas mal rassurée. Au final, j’ai une équipe qui est juste incroyable et j’ai juste eu à faire ma place.
Par rapport au travail que vous faites d’habitude, le rapport à la caméra change-t-il beaucoup ?
J’ai assez vite retrouvé mes repères, dans le sens où, en 2e partie de soirée, on me laisse vraiment être moi-même. Je peux vraiment apporter ma patte. Le but n’est pas que les gens qui me connaissent de YouTube voient une autre personne sur M6.
Comment définiriez-vous votre ton, votre style ?
Je pense qu’il est assez spontané, assez authentique. J’essaye d’amener ma pointe d’humour et de la bienveillance. C’est ce qui me caractérise sur mes réseaux. L’idée est de ne pas être dans la moquerie gratuite et méchante. Sur « Incroyable talent », on a ce que j’appelle les atypiques, qui sont dans leur univers. J’essaye de montrer en les interviewant qu’ils ont un côté hyperrigolo finalement.
Qu’avez-vous prévu de faire sur les réseaux sociaux en parallèle de l’émission ?
Je vais faire un vlog des backstages. C’est chouette aussi de pouvoir amener ça à mes abonnés. Je pense qu’ils seront contents de voir les coulisses et comment ça se passe, de partager ça avec moi dans mon univers qui est YouTube. C’est une façon de leur dire : « Je ne vous abandonne pas ». YouTube, ça reste mon bébé et ma priorité.
Était-ce un rêve pour vous de devenir animatrice ?
J’avais très envie de vivre cette expérience un jour. J’ai parfois la sensation d’animer ma chaîne YouTube et je me dis : « qu’est-ce que cela donnerait en télé ? » Donc j’avais envie de tester cet univers. En 2e partie de soirée, on est assez libre donc, pour faire ses premiers pas en télé, c’est assez cool. Il n’y a pas d’autres solutions que de mettre les deux pieds dans le plat pour voir si ça passe ou ça casse.
Vous disiez avoir hâte de rencontrer Karine Le Marchand et les jurés. Alors ?
La rencontre avec Karine s’est très bien passée. C’est une animatrice emblématique de la télé. C’était vraiment chouette de pouvoir échanger avec elle, savoir comment ça se passe, si elle a des conseils car c’est impressionnant : aujourd’hui elle ne fait rien avec un prompteur, elle est complètement spontanée, naturelle. J’ai beaucoup de proches qui sont fans de Karine donc j’étais contente de rentrer à la maison et leur dire : c’est la même avec ou sans caméras. Avec le jury, pareil. J’ai la chance de connaître déjà Eric Antoine via « Les Traîtres ». J’étais contente de le retrouver et de rencontrer les autres jurés.
Quels conseils vous a donné Karine Le Marchand ?
Qu’il fallait que je reste moi-même, que si on m’avait demandé de venir animer la 2e partie de soirée, c’est pour ce que j’étais et qu’il fallait surtout que je reste telle que je suis sur mes réseaux, qu’il fallait que je me fasse confiance. Elle m’a dit de ne pas hésiter à apporter ma touche, à parfois modifier certaines phrases quand je sens que je l’aurais dit autrement. Elle m’a dit qu’avec le temps, j’allais voir qu’on n’a plus besoin du prompteur et que ça roule tout seul.
Y a-t-il une grande différence entre ce que vous faites sur les réseaux et sur M6 ?
Oui, dans le sens où il y a des prompteurs, il y a des choses que je n’ai pas forcément écrites et tout l’enjeu est de voir si je suis à l’aise ou pas. Sur YouTube, je suis maître de tout, je n’écris pas, je fais tout spontanément, c’est en cela que c’est différent. Là, il faut prendre l’habitude de dire des choses en amenant tout de même son ton. Puis, c’est un peu une première pour moi d’avoir des horaires car sur YouTube, on fait tout quand on veut. C’est très organisé-désorganisé. Là, c’est plus cadrer.
« Les Traîtres » (M6), « Fort Boyard » (France 2), « Le Grand Concours » (TF1) : vous étiez accompagné à chaque fois de votre conjoint, Tibo InShape. Là, vous vous lancez seule. Il n’est pas trop vexé ?
Non, bien au contraire ! J’ai la chance de partager ma vie avec quelqu’un qui me soutient beaucoup. Après il adore faire « Fort Boyard » car il y a le côté sport mais c’est vrai qu’il est moins attiré que moi par la télé donc par ce type de projet. C’est aussi un challenge pour moi car j’ai la chance que ce soit lui qui m’ait mise en avant sur les réseaux sociaux au début de notre relation, il m’a donné beaucoup de visibilité, il m’a beaucoup fait confiance et, il le sait, on en a beaucoup parlé, j’ai ce besoin de prouver que je peux arriver dans un nouveau domaine par moi-même, faire mes preuves et avoir ma place, sans qu’on me dise : « ça, tu le dois encore à ton chéri ». Il le comprend. J’ai aussi envie de le rendre fier en faisant ça.
Est-il venu vous voir sur le tournage ?
Oui, il est là quasiment tous les jours. On a un appartement pas très loin qu’on a pu louer le temps du tournage. Il fait son boulot et il vient me voir pour le déjeuner. Parfois, il vient me filmer en coulisses. C’est cool car on n’a pas ce côté compétitif l’un envers l’autre.
« La France a un incroyable talent » : quelles sont les nouveautés de la saison 18 ?
Si le jury de l’émission reste inchangé, la mécanique du concours de M6 évolue. Désormais le Golden Buzzer donne un accès direct à la demi-finale et non à la finale. Pour accéder des auditions à l’ultime étape, il faudra qu’Hélène Ségara, Marianne James, Eric Antoine et Sugar Sammy décident à l’unanimité d’actionner le Platinum Buzzer. Le chemin jusqu’à la victoire devient également plus compliqué avec l’introduction d’un quart de finale, déjà présent dans les éditions américaines et anglaises. Les artistes se répartiront alors sur deux soirées et se produiront devant les quatre jurés ainsi qu’un cinquième juge invité pour l’occasion. La finale reste en direct pour permettre aux téléspectateurs de voter. L’an passé, c’est Rayane, un jeune pianiste, qui a remporté la 17e saison.
- Juju Fitcats est la nouvelle présentatrice de « La France a un incroyable talent, ça continue », qui débute ce mardi 24 octobre sur M6.
- Elle succède à Pierre-Antoine Damecour qui avait annoncé en juillet dernier quitter l’émission qu’il animait depuis 2020.
- « La nuit avant le premier tournage, j’avoue, je n’ai pas pu dormir car c’est tout nouveau pour moi. Je suis habituée à travailler sur mes propres médias (YouTube, Instagram et les autres réseaux) et on a la chance en tant que créateur de contenus de vraiment gérer à 100 % notre image et tout ce qu’on fait. La télé, c’est un nouvel univers, ce sont de nouvelles personnes avec lesquelles on travaille, donc il faut réussir à faire confiance », confie-t-elle.
Juju Fitcats court un peu partout en cet après-midi de septembre. Aujourd’hui, c’est la dernière session d’auditions au Théâtre André Malraux de Rueil-Malmaison, et la youtubeuse interviewe des candidats qui sortent de scène, puis file mettre en boîte une réaction à un message d’Eric Antoine pour les réseaux sociaux. Sans oublier qu’elle s’est jointe cinq minutes auparavant à une immense chenille dirigée par un talent face au jury, toujours constitué de Marianne James, Hélène Ségara, Sugar Sammy et Eric Antoine. C’est d’ailleurs ce dernier qui a soufflé à la production le nom de la gagnante des « Traîtres », émission qu’il a présentée. Energique, souriante, particulièrement à l’aise pour une débutante sur le petit écran, celle qui cumule 2,98 millions d’abonnés sur sa chaîne YouTube ou 3,3 millions sur Instagram a, de toute évidence, rapidement trouver ses marques sur un plateau télé. Entre deux séquences à mettre en boîte, elle a livré à quelques journalistes ses premières impressions.
Comment êtes-vous arrivée sur ce programme ?
En toute honnêteté, je pense que « Les Traîtres » y sont pour beaucoup puisque c’était ma première grosse expérience télé. Je me suis bien entendue avec les équipes de prod et avec Eric Antoine qui, je pense, a dû appuyer mon profil.
Votre impression sur les premiers tournages ?
Très bien. Au début, j’étais très stressée. La nuit avant le premier tournage, j’avoue, je n’ai pas pu dormir car c’est tout nouveau pour moi. Je suis habituée à travailler sur mes propres médias (YouTube, Instagram et les autres réseaux) et on a la chance en tant que créateur de contenus de vraiment gérer à 100 % notre image et tout ce qu’on fait. La télé, c’est un nouvel univers, ce sont de nouvelles personnes avec lesquelles on travaille, donc il faut réussir à faire confiance. Après, M6, cela fait longtemps que je les connais, donc je savais où je mettais les pieds. J’ai eu Eric Antoine au téléphone qui m’a pas mal rassurée. Au final, j’ai une équipe qui est juste incroyable et j’ai juste eu à faire ma place.
Par rapport au travail que vous faites d’habitude, le rapport à la caméra change-t-il beaucoup ?
J’ai assez vite retrouvé mes repères, dans le sens où, en 2e partie de soirée, on me laisse vraiment être moi-même. Je peux vraiment apporter ma patte. Le but n’est pas que les gens qui me connaissent de YouTube voient une autre personne sur M6.
Comment définiriez-vous votre ton, votre style ?
Je pense qu’il est assez spontané, assez authentique. J’essaye d’amener ma pointe d’humour et de la bienveillance. C’est ce qui me caractérise sur mes réseaux. L’idée est de ne pas être dans la moquerie gratuite et méchante. Sur « Incroyable talent », on a ce que j’appelle les atypiques, qui sont dans leur univers. J’essaye de montrer en les interviewant qu’ils ont un côté hyperrigolo finalement.
Qu’avez-vous prévu de faire sur les réseaux sociaux en parallèle de l’émission ?
Je vais faire un vlog des backstages. C’est chouette aussi de pouvoir amener ça à mes abonnés. Je pense qu’ils seront contents de voir les coulisses et comment ça se passe, de partager ça avec moi dans mon univers qui est YouTube. C’est une façon de leur dire : « Je ne vous abandonne pas ». YouTube, ça reste mon bébé et ma priorité.
Était-ce un rêve pour vous de devenir animatrice ?
J’avais très envie de vivre cette expérience un jour. J’ai parfois la sensation d’animer ma chaîne YouTube et je me dis : « qu’est-ce que cela donnerait en télé ? » Donc j’avais envie de tester cet univers. En 2e partie de soirée, on est assez libre donc, pour faire ses premiers pas en télé, c’est assez cool. Il n’y a pas d’autres solutions que de mettre les deux pieds dans le plat pour voir si ça passe ou ça casse.
Vous disiez avoir hâte de rencontrer Karine Le Marchand et les jurés. Alors ?
La rencontre avec Karine s’est très bien passée. C’est une animatrice emblématique de la télé. C’était vraiment chouette de pouvoir échanger avec elle, savoir comment ça se passe, si elle a des conseils car c’est impressionnant : aujourd’hui elle ne fait rien avec un prompteur, elle est complètement spontanée, naturelle. J’ai beaucoup de proches qui sont fans de Karine donc j’étais contente de rentrer à la maison et leur dire : c’est la même avec ou sans caméras. Avec le jury, pareil. J’ai la chance de connaître déjà Eric Antoine via « Les Traîtres ». J’étais contente de le retrouver et de rencontrer les autres jurés.
Quels conseils vous a donné Karine Le Marchand ?
Qu’il fallait que je reste moi-même, que si on m’avait demandé de venir animer la 2e partie de soirée, c’est pour ce que j’étais et qu’il fallait surtout que je reste telle que je suis sur mes réseaux, qu’il fallait que je me fasse confiance. Elle m’a dit de ne pas hésiter à apporter ma touche, à parfois modifier certaines phrases quand je sens que je l’aurais dit autrement. Elle m’a dit qu’avec le temps, j’allais voir qu’on n’a plus besoin du prompteur et que ça roule tout seul.
Y a-t-il une grande différence entre ce que vous faites sur les réseaux et sur M6 ?
Oui, dans le sens où il y a des prompteurs, il y a des choses que je n’ai pas forcément écrites et tout l’enjeu est de voir si je suis à l’aise ou pas. Sur YouTube, je suis maître de tout, je n’écris pas, je fais tout spontanément, c’est en cela que c’est différent. Là, il faut prendre l’habitude de dire des choses en amenant tout de même son ton. Puis, c’est un peu une première pour moi d’avoir des horaires car sur YouTube, on fait tout quand on veut. C’est très organisé-désorganisé. Là, c’est plus cadrer.
« Les Traîtres » (M6), « Fort Boyard » (France 2), « Le Grand Concours » (TF1) : vous étiez accompagné à chaque fois de votre conjoint, Tibo InShape. Là, vous vous lancez seule. Il n’est pas trop vexé ?
Non, bien au contraire ! J’ai la chance de partager ma vie avec quelqu’un qui me soutient beaucoup. Après il adore faire « Fort Boyard » car il y a le côté sport mais c’est vrai qu’il est moins attiré que moi par la télé donc par ce type de projet. C’est aussi un challenge pour moi car j’ai la chance que ce soit lui qui m’ait mise en avant sur les réseaux sociaux au début de notre relation, il m’a donné beaucoup de visibilité, il m’a beaucoup fait confiance et, il le sait, on en a beaucoup parlé, j’ai ce besoin de prouver que je peux arriver dans un nouveau domaine par moi-même, faire mes preuves et avoir ma place, sans qu’on me dise : « ça, tu le dois encore à ton chéri ». Il le comprend. J’ai aussi envie de le rendre fier en faisant ça.
Est-il venu vous voir sur le tournage ?
Oui, il est là quasiment tous les jours. On a un appartement pas très loin qu’on a pu louer le temps du tournage. Il fait son boulot et il vient me voir pour le déjeuner. Parfois, il vient me filmer en coulisses. C’est cool car on n’a pas ce côté compétitif l’un envers l’autre.
« La France a un incroyable talent » : quelles sont les nouveautés de la saison 18 ?
Si le jury de l’émission reste inchangé, la mécanique du concours de M6 évolue. Désormais le Golden Buzzer donne un accès direct à la demi-finale et non à la finale. Pour accéder des auditions à l’ultime étape, il faudra qu’Hélène Ségara, Marianne James, Eric Antoine et Sugar Sammy décident à l’unanimité d’actionner le Platinum Buzzer. Le chemin jusqu’à la victoire devient également plus compliqué avec l’introduction d’un quart de finale, déjà présent dans les éditions américaines et anglaises. Les artistes se répartiront alors sur deux soirées et se produiront devant les quatre jurés ainsi qu’un cinquième juge invité pour l’occasion. La finale reste en direct pour permettre aux téléspectateurs de voter. L’an passé, c’est Rayane, un jeune pianiste, qui a remporté la 17e saison.
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