L’affaire Depardieu n’en finit plus de bousculer le monde culturel français… et de susciter de nouveaux témoignages. Alors que les pro-Depardieu et les anti s’affrontent à coup de tribunes, une actrice a décidé d’apporter son récit, au sujet d’une scène dont elle se dit témoin, qui s’apparente à une agression sexuelle.
Dans un post sur Facebook, la comédienne dit avoir vu l’acteur, déjà visé par trois plaintes pour agression sexuelle et viol, « la main dans la culotte d’une figurante pendant une prise » et avoir vu le visage de cette femme « rouge de honte essayant de serrer ses jambes pour empêcher les gros doigts de Gérard de tripoter son intimité, ne pouvant pas se défendre pour ne pas « gâcher » la prise ».
L’actrice dit aussi l’avoir observé « abuser les plus faibles, faire pleurer des jeunes femmes et des moins jeunes. Comme un enfant plus fort que les autres dans la cour de récré qui cherche les limites en harcelant les plus fragiles. »
Tribune et contre-tribune
Tombé de son piédestal après la diffusion d’images où il multiplie les propos misogynes et à caractère sexuel y compris envers une fillette, l’acteur de 75 ans n’a pas fini de diviser. La polémique a touché le plus haut sommet de l’Etat, puisque le président Emmanuel Macron a défendu la présomption d’innocence en faveur de l’acteur, estimant qu’il rendait « fière la France », au grand dam des féministes et de plusieurs personnalités dont son prédécesseur François Hollande qui ont tenu à souligner le « courage des victimes ».
Angèle, Louane, Médine, Imany, Suzane ou encore la journaliste et réalisatrice Rokhaya Diallo figurent parmi plus de 2.500 signataires d’une « contre-tribune » d’artistes publiée par le collectif Cerveaux non disponibles. Elle entend dénoncer une pétition signée par une soixantaine de personnalités connues du cinéma en France et au-delà, appelant à « ne pas effacer » Gérard Depardieu, parue le jour de Noël dans le Figaro.
L’affaire Depardieu n’en finit plus de bousculer le monde culturel français… et de susciter de nouveaux témoignages. Alors que les pro-Depardieu et les anti s’affrontent à coup de tribunes, une actrice a décidé d’apporter son récit, au sujet d’une scène dont elle se dit témoin, qui s’apparente à une agression sexuelle.
Dans un post sur Facebook, la comédienne dit avoir vu l’acteur, déjà visé par trois plaintes pour agression sexuelle et viol, « la main dans la culotte d’une figurante pendant une prise » et avoir vu le visage de cette femme « rouge de honte essayant de serrer ses jambes pour empêcher les gros doigts de Gérard de tripoter son intimité, ne pouvant pas se défendre pour ne pas « gâcher » la prise ».
L’actrice dit aussi l’avoir observé « abuser les plus faibles, faire pleurer des jeunes femmes et des moins jeunes. Comme un enfant plus fort que les autres dans la cour de récré qui cherche les limites en harcelant les plus fragiles. »
Tribune et contre-tribune
Tombé de son piédestal après la diffusion d’images où il multiplie les propos misogynes et à caractère sexuel y compris envers une fillette, l’acteur de 75 ans n’a pas fini de diviser. La polémique a touché le plus haut sommet de l’Etat, puisque le président Emmanuel Macron a défendu la présomption d’innocence en faveur de l’acteur, estimant qu’il rendait « fière la France », au grand dam des féministes et de plusieurs personnalités dont son prédécesseur François Hollande qui ont tenu à souligner le « courage des victimes ».
Angèle, Louane, Médine, Imany, Suzane ou encore la journaliste et réalisatrice Rokhaya Diallo figurent parmi plus de 2.500 signataires d’une « contre-tribune » d’artistes publiée par le collectif Cerveaux non disponibles. Elle entend dénoncer une pétition signée par une soixantaine de personnalités connues du cinéma en France et au-delà, appelant à « ne pas effacer » Gérard Depardieu, parue le jour de Noël dans le Figaro.
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