A bientôt 38 ans, Sandra Ratesson en a vu défiler des émissions de télévision, des animateurs et des candidats de télé-réalité. Membre de la génération Club Dorothée, elle a vu l’apparition mais aussi l’extinction de nombreux programmes. La scène du rapprochement physique entre Loana et Jean-Edouard dans la piscine de Loft Story, elle l’a vu en direct grâce à un abonnement ADSL d’époque.
Coline Berry, condamnée pour diffamation envers son ex-belle-mère Jeane Manson en avril 2022, voit sa condamantion être annulée. Un "soulagement" pour la jeune femme.
La Cour de cassation a annulé mardi la condamnation de Coline Berry pour diffamation envers son ex-belle-mère Jeane Manson. La Cour "casse et annule en toutes ses dispositions" l'arrêt de la cour d'appel de Riom (Puy-de-Dôme), rendu le 8 décembre 2022, et renvoie le dossier devant la cour d'appel de Lyon, rapporte l'AFP.
"C'est un immense soulagement et le début de la fin d'une injustice. (...) Ces procès sont à tout point de vue d'un autre temps et d'une autre époque. Coline Berry-Rojtman, pour avoir dénoncé les faits qu'elle a subis dans son enfance, a été muselée et maltraitée judiciairement. Nous n'allons pas en rester là", a déclaré l'avocat de Coline Berry, Me Patrick Klugman.
Rappelons que le 14 avril 2022, le tribunal d'Aurillac avait condamné Coline Berry à 2 000 euros d'amende pour diffamation. Elle devait aussi verser 20 000 euros de dommages-intérêts à son ancienne belle-mère, ainsi que 5 000 euros au titre des frais de justice. La cour d'appel de Riom avait confirmé cette condamnation, ajoutant la même somme au titre des frais de justice, soit un total de 10 000 euros.
Une condamnation qui avait fait réagir Coline
Une décision qui avait fait réagir Coline Berry. "27 000 euros. Voilà la sanction pour avoir osé dénoncer ce que j'ai subi dans ma chair. Voilà la sanction du tribunal d'Aurillac, petite ville du Cantal avec laquelle ni mon père ni moi n'avons aucun lien", écrivait-elle, sans nommer explicitement Jeane Manson. Elle faisait ainsi référence aux violences sexuelles qu'elle aurait subies lorsqu'elle était mineure en 1984 et 1985 au domicile de son père qui vivait alors avec Jeane Manson, accusée d'avoir participé avec lui à ces agressions. Pour rappel, l'affaire Richard Berry avait été classée sans suite pour prescription par le parquet de Paris.
A bientôt 38 ans, Sandra Ratesson en a vu défiler des émissions de télévision, des animateurs et des candidats de télé-réalité. Membre de la génération Club Dorothée, elle a vu l’apparition mais aussi l’extinction de nombreux programmes. La scène du rapprochement physique entre Loana et Jean-Edouard dans la piscine de Loft Story, elle l’a vu en direct grâce à un abonnement ADSL d’époque.
Coline Berry, condamnée pour diffamation envers son ex-belle-mère Jeane Manson en avril 2022, voit sa condamantion être annulée. Un "soulagement" pour la jeune femme.
La Cour de cassation a annulé mardi la condamnation de Coline Berry pour diffamation envers son ex-belle-mère Jeane Manson. La Cour "casse et annule en toutes ses dispositions" l'arrêt de la cour d'appel de Riom (Puy-de-Dôme), rendu le 8 décembre 2022, et renvoie le dossier devant la cour d'appel de Lyon, rapporte l'AFP.
"C'est un immense soulagement et le début de la fin d'une injustice. (...) Ces procès sont à tout point de vue d'un autre temps et d'une autre époque. Coline Berry-Rojtman, pour avoir dénoncé les faits qu'elle a subis dans son enfance, a été muselée et maltraitée judiciairement. Nous n'allons pas en rester là", a déclaré l'avocat de Coline Berry, Me Patrick Klugman.
Rappelons que le 14 avril 2022, le tribunal d'Aurillac avait condamné Coline Berry à 2 000 euros d'amende pour diffamation. Elle devait aussi verser 20 000 euros de dommages-intérêts à son ancienne belle-mère, ainsi que 5 000 euros au titre des frais de justice. La cour d'appel de Riom avait confirmé cette condamnation, ajoutant la même somme au titre des frais de justice, soit un total de 10 000 euros.
Une condamnation qui avait fait réagir Coline
Une décision qui avait fait réagir Coline Berry. "27 000 euros. Voilà la sanction pour avoir osé dénoncer ce que j'ai subi dans ma chair. Voilà la sanction du tribunal d'Aurillac, petite ville du Cantal avec laquelle ni mon père ni moi n'avons aucun lien", écrivait-elle, sans nommer explicitement Jeane Manson. Elle faisait ainsi référence aux violences sexuelles qu'elle aurait subies lorsqu'elle était mineure en 1984 et 1985 au domicile de son père qui vivait alors avec Jeane Manson, accusée d'avoir participé avec lui à ces agressions. Pour rappel, l'affaire Richard Berry avait été classée sans suite pour prescription par le parquet de Paris.
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