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Faustine Bollaert raconte comment Michel Drucker l'a sauvée de DSK - 20 Minutes

«C’est vrai que je me sens fragile de prendre la parole sur ce thème », a confié Faustine Bollaert, invitée samedi soir sur le plateau de Quelle Époque (France 2). Le thème en question : le sexisme, les gestes déplacés et nombreuses remarques qu’elle a pu subir durant sa carrière. Face à Léa Salamé, l’animatrice a notamment évoqué un moment vécu au sein du studio Gabriel, lorsqu’elle s’est retrouvée face à Dominique Strauss-Kahn.

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« Un homme politique s’est montré très incisif avec moi et il m’a fait peur », a-t-elle d’abord déclaré. Elle a ajouté devoir son salut à Michel Drucker, qui serait arrivé dans la loge au bon moment. « Heureusement qu’il est intervenu », a assuré Faustine Bollaert.

« J’avais besoin d’être libérée »

La présentatrice Léa Salamé lui a ensuite demandé pourquoi DSK lui avait fait peur. « Parce qu’il s’est montré insistant et on sent la différence entre l’insistant lourd et l’insistant prédateur », a assuré l’invitée. L’intervention de Michel Drucker aurait été un véritable soulagement : « Il a tout de suite vu dans mes yeux que j’avais besoin d’être libérée de ce moment. » Elle a ensuite pu suivre l’animateur et mettre fin au malaise.

L’animatrice de 44 ans a, plus largement, expliqué qu’elle n’était pas totalement prête à prendre la parole sur ce qu’elle a pu vivre : « J’ai peur des conséquences en fait. » Léa Salamé lui a fait remarquer qu’elle se libérait de plus en plus sur ce sujet : « Je vais vers cette forme de liberté, je n’y suis peut-être pas encore, peut-être que je me dis qu’un jour ce sera le bon moment », a expliqué l’animatrice, tout en assurant continuer à soutenir les femmes dans leurs prises de parole.

Plusieurs affaires pour DSK

De son côté, Dominique Strauss-Kahn est connu pour son implication dans plusieurs affaires, notamment d’ordre sexuel. La plus connue : celle du Sofitel à New York (Etats-Unis), où une femme de chambre l’avait accusé en 2011 d’agression sexuelle. Son nom était également apparu dans une enquête sur un réseau de proxénétisme, l’affaire du Carlton de Lille. Il avait été mis en examen pour proxénétisme aggravé, mais finalement relaxé.

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« J’avais besoin d’être libérée »

La présentatrice Léa Salamé lui a ensuite demandé pourquoi DSK lui avait fait peur. « Parce qu’il s’est montré insistant et on sent la différence entre l’insistant lourd et l’insistant prédateur », a assuré l’invitée. L’intervention de Michel Drucker aurait été un véritable soulagement : « Il a tout de suite vu dans mes yeux que j’avais besoin d’être libérée de ce moment. » Elle a ensuite pu suivre l’animateur et mettre fin au malaise.

L’animatrice de 44 ans a, plus largement, expliqué qu’elle n’était pas totalement prête à prendre la parole sur ce qu’elle a pu vivre : « J’ai peur des conséquences en fait. » Léa Salamé lui a fait remarquer qu’elle se libérait de plus en plus sur ce sujet : « Je vais vers cette forme de liberté, je n’y suis peut-être pas encore, peut-être que je me dis qu’un jour ce sera le bon moment », a expliqué l’animatrice, tout en assurant continuer à soutenir les femmes dans leurs prises de parole.

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De son côté, Dominique Strauss-Kahn est connu pour son implication dans plusieurs affaires, notamment d’ordre sexuel. La plus connue : celle du Sofitel à New York (Etats-Unis), où une femme de chambre l’avait accusé en 2011 d’agression sexuelle. Son nom était également apparu dans une enquête sur un réseau de proxénétisme, l’affaire du Carlton de Lille. Il avait été mis en examen pour proxénétisme aggravé, mais finalement relaxé.

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