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Gérard Miller accusé de viols et agressions sexuelles : la chute de «Divan le terrible» - Libération

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Violences sexuellesdossier
Accusé de viols et d’agressions sexuelles par une cinquantaine de femmes, l’hypermédiatique psychanalyste vient de démissionner de toutes ses activités liées à sa profession. Dans l’entourage du thérapeute mondain, on oscille entre sidération et souvenirs de vieilles rumeurs.

Gérard Miller écrit à son entourage, beaucoup, entre fin janvier et mi-février. A toutes ses sphères – la médiatique, la politique, la psychanalytique. Aréopage mondain et hétéroclite, à son image. Ceux de la télé et de la radio, qu’il a côtoyés chez Michel Drucker ou croisés à France Inter, ceux de la fameuse bande emmenée par Laurent Ruquier. Et puis une partie de la gauche – des insoumis, des écolos – et des psys, des lacaniens comme lui. Une frénésie de mails pour se défendre, pour s’expliquer, pour se justifier. Le 30 janvier, dans un courriel intitulé «Pour information», le célèbre psy-documentariste-chroniqueur multicartes (y compris, un temps, chez Libé), ex-maoïste toujours dandy portant beau ses 75 ans, informe son premier cercle que le magazine Elle va publier un article le concernant. Il y sera «accusé d’agressions sexuelles sous hypnose, même d’un viol». Et de pointer la responsabilité du polémiste antisémite Alain Soral : «Depuis six ans, il m’accuse sur les réseaux sociaux d’extrême droite d’avoir abusé d’une femme endormie sous hypnose dont il affirme avoir été l’amant», écrit Gérard Miller à ses proches.

Une référence à la journaliste Muriel Cousin qui, depuis une vingtaine d’années, raconte à son entourage

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Gérard Miller écrit à son entourage, beaucoup, entre fin janvier et mi-février. A toutes ses sphères – la médiatique, la politique, la psychanalytique. Aréopage mondain et hétéroclite, à son image. Ceux de la télé et de la radio, qu’il a côtoyés chez Michel Drucker ou croisés à France Inter, ceux de la fameuse bande emmenée par Laurent Ruquier. Et puis une partie de la gauche – des insoumis, des écolos – et des psys, des lacaniens comme lui. Une frénésie de mails pour se défendre, pour s’expliquer, pour se justifier. Le 30 janvier, dans un courriel intitulé «Pour information», le célèbre psy-documentariste-chroniqueur multicartes (y compris, un temps, chez Libé), ex-maoïste toujours dandy portant beau ses 75 ans, informe son premier cercle que le magazine Elle va publier un article le concernant. Il y sera «accusé d’agressions sexuelles sous hypnose, même d’un viol». Et de pointer la responsabilité du polémiste antisémite Alain Soral : «Depuis six ans, il m’accuse sur les réseaux sociaux d’extrême droite d’avoir abusé d’une femme endormie sous hypnose dont il affirme avoir été l’amant», écrit Gérard Miller à ses proches.

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