Stéphane Plaza traverse une période compliquée. En effet, le célèbre agent immobilier est accusé de violences sur deux anciennes compagnes. Mardi 12 mars dernier, il a été placé en garde à vue à Paris. Deux jours plus tard, il a cette fois été placé sous contrôle judiciaire en l’attente de son procès. Celui-ci est prévu pour le mois d’août prochain.
Lors de son passage devant la justice, l’animateur de Maison à vendre devrait être jugé pour “violences habituelles par concubin ayant entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours (physiques et psychologiques)”. Des faits qui auraient eu lieu entre août 2018 et avril 2022 pour une ancienne compagne et entre décembre 2021 et septembre 2022 pour une autre.
Stéphane Plaza s’est montré coopératif lors de sa garde à vue
Au lendemain de l’annonce du placement sous contrôle judiciaire de Stéphane Plaza, l’affaire a été évoquée sur le plateau de TPMP. Gilles Verdez est revenu sur le déroulé de sa garde à vue. Il a ainsi indiqué que l’homme de 53 ans n’a pas pu dormir de la nuit. De quoi expliquer son grand état de fatigue. De plus, ses avocats ont souligné le fait qu’il est “très affecté par la situation”.
Malgré cela, Stéphane Plaza s’est montré très coopératif avec les enquêteurs. “Il a répondu à toutes les questions de manière synthétique, sans en rajouter et sans se prévaloir de qui il est” a rapporté le chroniqueur de Cyril Hanouna.
Le célèbre animateur a donné son téléphone aux enquêteurs
En plus de répondre aux questions des enquêteurs, Stéphane Plaza a accepté toutes leurs requêtes. Gilles Verdez a expliqué : “Il a accepté un test urinaire, il a accepté des tests psychologiques. Il a fourni son téléphone de lui-même, pour que tout soit examiné”. En analysant son téléphone, les policiers ont relevé le fait qu’il a reconnu avoir été violent. Il a également exprimé des remords à ce sujet.
Finalement, l'animateur a été confronté à ses deux plaignantes. Au cours de la confrontation, l’une d’elle a reconnu qu’elle avait “créé de faux profils pour contacter l’entourage de Stéphane Plaza”. Un élément très important pour l’enquête. En effet, il pourrait accréditer la plainte pour harcèlement, déposée trois mois avant le début de l’affaire, par l’ami de Karine Le Marchand.
Stéphane Plaza traverse une période compliquée. En effet, le célèbre agent immobilier est accusé de violences sur deux anciennes compagnes. Mardi 12 mars dernier, il a été placé en garde à vue à Paris. Deux jours plus tard, il a cette fois été placé sous contrôle judiciaire en l’attente de son procès. Celui-ci est prévu pour le mois d’août prochain.
Lors de son passage devant la justice, l’animateur de Maison à vendre devrait être jugé pour “violences habituelles par concubin ayant entraîné une incapacité de travail supérieure à huit jours (physiques et psychologiques)”. Des faits qui auraient eu lieu entre août 2018 et avril 2022 pour une ancienne compagne et entre décembre 2021 et septembre 2022 pour une autre.
Stéphane Plaza s’est montré coopératif lors de sa garde à vue
Au lendemain de l’annonce du placement sous contrôle judiciaire de Stéphane Plaza, l’affaire a été évoquée sur le plateau de TPMP. Gilles Verdez est revenu sur le déroulé de sa garde à vue. Il a ainsi indiqué que l’homme de 53 ans n’a pas pu dormir de la nuit. De quoi expliquer son grand état de fatigue. De plus, ses avocats ont souligné le fait qu’il est “très affecté par la situation”.
Malgré cela, Stéphane Plaza s’est montré très coopératif avec les enquêteurs. “Il a répondu à toutes les questions de manière synthétique, sans en rajouter et sans se prévaloir de qui il est” a rapporté le chroniqueur de Cyril Hanouna.
Le célèbre animateur a donné son téléphone aux enquêteurs
En plus de répondre aux questions des enquêteurs, Stéphane Plaza a accepté toutes leurs requêtes. Gilles Verdez a expliqué : “Il a accepté un test urinaire, il a accepté des tests psychologiques. Il a fourni son téléphone de lui-même, pour que tout soit examiné”. En analysant son téléphone, les policiers ont relevé le fait qu’il a reconnu avoir été violent. Il a également exprimé des remords à ce sujet.
Finalement, l'animateur a été confronté à ses deux plaignantes. Au cours de la confrontation, l’une d’elle a reconnu qu’elle avait “créé de faux profils pour contacter l’entourage de Stéphane Plaza”. Un élément très important pour l’enquête. En effet, il pourrait accréditer la plainte pour harcèlement, déposée trois mois avant le début de l’affaire, par l’ami de Karine Le Marchand.
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