Les perquisitions de plusieurs demeures de Sean Combs, aussi connu sous le nom de Puff Daddy ou P. Diddy, ont fait remonter à la surface un ancien témoignage d’Usher qui ne l’aidera probablement pas dans son « combat » pour « blanchir son nom ». Le FBI a lancé deux perquisitions coordonnées à la seconde près à Los Angeles et Miami dans le cadre d’une enquête fédérale sur des cas de trafics d’êtres humains.
Par le biais de ses avocats, le rappeur de 54 ans, visé par cinq plaintes pour agressions sexuelles depuis l’an dernier, a clamé son innocence et dénoncé l’action des autorités et une « chasse aux sorcières » renforcée par la couverture médiatique. « Hier, il y a eu un abus flagrant de force militaire lors de l’exécution des mandats de perquisition aux domiciles de M. Combs », a déclaré son avocat, Aaron Dyer, dans un communiqué envoyé au site de Fox News.
« Cette embuscade sans précédent, associée à une présence médiatique poussée et coordonnée, conduit à un jugement prématuré de M. Combs et n’est rien d’autre qu’une chasse aux sorcières basée sur des accusations sans fondement formulées dans le cadre de poursuites civiles », précisait aussi le communiqué.
Souvenirs de moments « dingues »
L’affaire a cependant fait resurgir une interview d’Usher, enregistrée en 2016 pour le Howard Stern Show. Le chanteur de R & B américain y évoquait l’année qu’il a passée dans une propriété de P. Diddy, entre ses 13 et ses 14 ans. A l’époque, l’ancien PDG d’Epic Records, L.A. Reid, pensait qu’une année passée en compagnie de la star du rap américain aiderait le jeune garçon à se faire une idée du « style de vie » qui l’attendait dans ce milieu.
L’interprète de U Got It Bad n’était pas au bout de ses surprises. « J’ai eu l’occasion de voir certaines choses… Je ne sais pas si je pourrais me confier et même comprendre ce que j’ai vu », avait-il déclaré à l’époque, mi-amusé mi-gêné. Lorsque l’animateur lui a demandé si la maison de P. Diddy était « remplie de filles et d’orgies non-stop », Usher a répondu : « Pas vraiment… C’était assez dingue. C’était fou. Il y avait des choses très curieuses qui se passaient et je ne les comprenais pas forcément. »
Usher a parlé des nombreuses soirées qui ont rendu Puff Daddy célèbre, et des personnalités qui s’y rendaient. Il en garde un bon souvenir, d’autant qu’il pouvait veiller tard avec eux. « Mes parents n’étaient pas au courant (…) Je passais du bon temps », a-t-il ajouté dans un sourire. Bien qu’il soit resté assez avare sur les détails de son expérience, le rappeur de 45 ans, aujourd’hui père de famille, a répondu dans un rire « P*tain non » lorsqu’on lui a demandé s’il accepterait d’envoyer ses propres enfants au Puffy Flavor Camp, nom donné à une demeure de P. Diddy.
Si les deux fils de P. Diddy, Justin (30 ans) et Christian (25 ans), ont été menottés pendant la perquisition de la police, les avocats du rappeur ont nié toute détention. « Malgré les spéculations des médias, ni M. Combs ni aucun membre de sa famille n’ont été arrêtés et leur capacité de déplacement n’a été restreinte d’aucune manière », ont-ils déclaré dans un communiqué.
Read AgainLes perquisitions de plusieurs demeures de Sean Combs, aussi connu sous le nom de Puff Daddy ou P. Diddy, ont fait remonter à la surface un ancien témoignage d’Usher qui ne l’aidera probablement pas dans son « combat » pour « blanchir son nom ». Le FBI a lancé deux perquisitions coordonnées à la seconde près à Los Angeles et Miami dans le cadre d’une enquête fédérale sur des cas de trafics d’êtres humains.
Par le biais de ses avocats, le rappeur de 54 ans, visé par cinq plaintes pour agressions sexuelles depuis l’an dernier, a clamé son innocence et dénoncé l’action des autorités et une « chasse aux sorcières » renforcée par la couverture médiatique. « Hier, il y a eu un abus flagrant de force militaire lors de l’exécution des mandats de perquisition aux domiciles de M. Combs », a déclaré son avocat, Aaron Dyer, dans un communiqué envoyé au site de Fox News.
« Cette embuscade sans précédent, associée à une présence médiatique poussée et coordonnée, conduit à un jugement prématuré de M. Combs et n’est rien d’autre qu’une chasse aux sorcières basée sur des accusations sans fondement formulées dans le cadre de poursuites civiles », précisait aussi le communiqué.
Souvenirs de moments « dingues »
L’affaire a cependant fait resurgir une interview d’Usher, enregistrée en 2016 pour le Howard Stern Show. Le chanteur de R & B américain y évoquait l’année qu’il a passée dans une propriété de P. Diddy, entre ses 13 et ses 14 ans. A l’époque, l’ancien PDG d’Epic Records, L.A. Reid, pensait qu’une année passée en compagnie de la star du rap américain aiderait le jeune garçon à se faire une idée du « style de vie » qui l’attendait dans ce milieu.
L’interprète de U Got It Bad n’était pas au bout de ses surprises. « J’ai eu l’occasion de voir certaines choses… Je ne sais pas si je pourrais me confier et même comprendre ce que j’ai vu », avait-il déclaré à l’époque, mi-amusé mi-gêné. Lorsque l’animateur lui a demandé si la maison de P. Diddy était « remplie de filles et d’orgies non-stop », Usher a répondu : « Pas vraiment… C’était assez dingue. C’était fou. Il y avait des choses très curieuses qui se passaient et je ne les comprenais pas forcément. »
Usher a parlé des nombreuses soirées qui ont rendu Puff Daddy célèbre, et des personnalités qui s’y rendaient. Il en garde un bon souvenir, d’autant qu’il pouvait veiller tard avec eux. « Mes parents n’étaient pas au courant (…) Je passais du bon temps », a-t-il ajouté dans un sourire. Bien qu’il soit resté assez avare sur les détails de son expérience, le rappeur de 45 ans, aujourd’hui père de famille, a répondu dans un rire « P*tain non » lorsqu’on lui a demandé s’il accepterait d’envoyer ses propres enfants au Puffy Flavor Camp, nom donné à une demeure de P. Diddy.
Si les deux fils de P. Diddy, Justin (30 ans) et Christian (25 ans), ont été menottés pendant la perquisition de la police, les avocats du rappeur ont nié toute détention. « Malgré les spéculations des médias, ni M. Combs ni aucun membre de sa famille n’ont été arrêtés et leur capacité de déplacement n’a été restreinte d’aucune manière », ont-ils déclaré dans un communiqué.
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