Le chanteur à succès Kendji Girac a été blessé par balle lundi matin dans les Landes. L’interprète de Color Gitano et Andalouse était toujours hospitalisé mardi soir au centre hospitalier Haut-Lévêque à Pessac, au sud-ouest de Bordeaux, où il avait été transporté « dans un état grave, bien que conscient ». Après une opération lundi soir, Kendji Girac allait mieux. Hakim Nassouh, son manager, a discuté avec lui au téléphone : « Il m’a parlé. Il est tiré d’affaire. Il va bien », témoigne-t-il à Sud-Ouest.
Il présentait « une plaie par balle au niveau du thorax » et « ressortant au niveau du dos », selon le procureur Olivier Janson dans un communiqué.
Seul dans la caravane
Le camp où se sont déroulés les faits, réunit « 80 caravanes sur l’aire, appartenant toutes à des membres de la famille ou à des proches » du chanteur selon le parquet. Les premières auditions de ses proches, notamment de sa conjointe, ont permis d’éclairer un peu plus les circonstances floues de l’affaire. Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » a été ouverte.
Selon une source proche de l’enquête interrogée par BFMTV et Le Parisien, Kendji Girac était seul à l’intérieur de sa caravane au moment où il a été blessé par balle. Après avoir transpercé son dos, la munition a traversé l’habitacle du véhicule. Il aurait manipulé l’arme en étant alcoolisé. Des témoignages évoquent aussi une dispute avec sa conjointe, avant l’accident. Elle lui aurait demandé d’aller écouter sa musique seul dans son véhicule, à 2 h 40 du matin, alors qu’il revenait d’un casino.
Une arme achetée dans une brocante ?
Les enquêteurs s’interrogent encore sur la tentative des proches de Kendji Girac de cacher le pistolet après l’accident, dans un fossé. L’arme aurait été achetée dans une brocante. Les constatations se poursuivent, et le chanteur doit encore être entendu par les forces de l’ordre. Juste après avoir été blessé, il avait évoqué un accident en manipulant le pistolet.
« Il faut rester vigilants. C’est un huis clos et l’action d’un tiers ou une tentative de suicide que certains proches auraient tenté de dissimuler ne peuvent pas être exclues pour l’instant », souligne un enquêteur au Parisien.
Le chanteur à succès Kendji Girac a été blessé par balle lundi matin dans les Landes. L’interprète de Color Gitano et Andalouse était toujours hospitalisé mardi soir au centre hospitalier Haut-Lévêque à Pessac, au sud-ouest de Bordeaux, où il avait été transporté « dans un état grave, bien que conscient ». Après une opération lundi soir, Kendji Girac allait mieux. Hakim Nassouh, son manager, a discuté avec lui au téléphone : « Il m’a parlé. Il est tiré d’affaire. Il va bien », témoigne-t-il à Sud-Ouest.
Il présentait « une plaie par balle au niveau du thorax » et « ressortant au niveau du dos », selon le procureur Olivier Janson dans un communiqué.
Seul dans la caravane
Le camp où se sont déroulés les faits, réunit « 80 caravanes sur l’aire, appartenant toutes à des membres de la famille ou à des proches » du chanteur selon le parquet. Les premières auditions de ses proches, notamment de sa conjointe, ont permis d’éclairer un peu plus les circonstances floues de l’affaire. Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » a été ouverte.
Selon une source proche de l’enquête interrogée par BFMTV et Le Parisien, Kendji Girac était seul à l’intérieur de sa caravane au moment où il a été blessé par balle. Après avoir transpercé son dos, la munition a traversé l’habitacle du véhicule. Il aurait manipulé l’arme en étant alcoolisé. Des témoignages évoquent aussi une dispute avec sa conjointe, avant l’accident. Elle lui aurait demandé d’aller écouter sa musique seul dans son véhicule, à 2 h 40 du matin, alors qu’il revenait d’un casino.
Une arme achetée dans une brocante ?
Les enquêteurs s’interrogent encore sur la tentative des proches de Kendji Girac de cacher le pistolet après l’accident, dans un fossé. L’arme aurait été achetée dans une brocante. Les constatations se poursuivent, et le chanteur doit encore être entendu par les forces de l’ordre. Juste après avoir été blessé, il avait évoqué un accident en manipulant le pistolet.
« Il faut rester vigilants. C’est un huis clos et l’action d’un tiers ou une tentative de suicide que certains proches auraient tenté de dissimuler ne peuvent pas être exclues pour l’instant », souligne un enquêteur au Parisien.
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