Guirlandes de slips dans le Jura : le mystère enfin résolu

Mission accomplie pour des collégiens de Notre-Dame-de-Poligny (Jura). Ces élèves de 4ème ont reconnu être à l’origine des guirlandes de slips accrochées depuis trois semaines dans les rues de la ville de Poligny.

Ces accrochages nocturnes n’avaient jamais été revendiqués et avaient suscité beaucoup de réactions amusées, tant sur les réseaux sociaux que dans la presse régionale et nationale. Comme l’avait rapporté Le Parisien/Aujourd’hui en France, certains y voyaient une action politique contre le projet de création d’un Center Parcs dans la grande forêt de Poligny, d’autres un avant-goût de la prochaine fête vigneronne.

Rien de tout ça finalement. Ce lundi, les jeunes culottés ont révélé que ces « fameuses guirlandes ne sont porteuses d’aucune revendication, et ont été posées dans un seul but pédagogique ». Les collégiens travaillaient en effet sur les notions de désinformation, d’intox et de rumeur urbaine.

Inspirés par « Mamie Culotte »

« Nos actions pirates n’avaient d’autre but que de susciter des réactions, à partir desquelles nous avons écrit un spectacle », ont-ils expliqué à France Bleu Besançon. Les jeunes voulaient également « éprouver la force de répercussion des médias ».

Selon le texte publié sur Facebook par Nicolas Turon, un artiste qui a soutenu le projet, les élèves se sont inspirés de « Mamie Culotte, un personnage réel connu par les anciens collégiens pour faire sécher son linge dans la rue ».

Menée par Laetitia Garreau, leur prof de français et d’espagnol, l’opération a été préparée avec la complicité de France Bleu Besançon et de la mairie de Poligny.

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Ces accrochages nocturnes n’avaient jamais été revendiqués et avaient suscité beaucoup de réactions amusées, tant sur les réseaux sociaux que dans la presse régionale et nationale. Comme l’avait rapporté Le Parisien/Aujourd’hui en France, certains y voyaient une action politique contre le projet de création d’un Center Parcs dans la grande forêt de Poligny, d’autres un avant-goût de la prochaine fête vigneronne.

Rien de tout ça finalement. Ce lundi, les jeunes culottés ont révélé que ces « fameuses guirlandes ne sont porteuses d’aucune revendication, et ont été posées dans un seul but pédagogique ». Les collégiens travaillaient en effet sur les notions de désinformation, d’intox et de rumeur urbaine.

Inspirés par « Mamie Culotte »

« Nos actions pirates n’avaient d’autre but que de susciter des réactions, à partir desquelles nous avons écrit un spectacle », ont-ils expliqué à France Bleu Besançon. Les jeunes voulaient également « éprouver la force de répercussion des médias ».

Selon le texte publié sur Facebook par Nicolas Turon, un artiste qui a soutenu le projet, les élèves se sont inspirés de « Mamie Culotte, un personnage réel connu par les anciens collégiens pour faire sécher son linge dans la rue ».

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