Révoqué par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) de la présidence de Radio France</a>, fin janvier, Matthieu Gallet a annoncé, jeudi 22 février, sur France</a> Inter qu’il avait renoncé à contester</a> cette décision via la procédure d’urgence d’un référé suspension auprès du Conseil d’Etat. Cette procédure aurait pu lui permettre</a> le maintien à son poste le temps que le juge administratif se prononce.
La sanction du CSA avait été prise à la suite de la condamnation de M. Gallet à un an de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende, le 15 janvier, pour favoritisme lorsqu’il dirigeait l’Institut national de l’audiovisuel (INA).
Départ fixé au 1er mars
Le Conseil avait justifié sa décision en expliquant qu’il n’était plus en capacité de continuer</a> à diriger</a> la radio publique. Mais pour l’ancien patron de Radio France, la décision du CSA est « contestable juridiquement », mais « pas en référé suspension ». Cependant, « j’ai encore quelques semaines pour pouvoir</a> regarder [la possibilité d’un recours] au fond, non pas pour m’accrocher à cette maison, à ce poste, mais pour que le droit et tout le droit soit dit », a déclaré Mathieu Gallet.
Lire aussi : Audiovisuel : l’annonce de la révocation de Mathieu Gallet arrive au plus mauvais moment pour Radio France
Interrogé ensuite sur ses projets, alors que son départ de Radio France a été fixé au 1er mars, et qu’il s’apprête à y passer</a> ses dernières heures, Mathieu Gallet a répondu : « Je vais partir</a> quelques jours en vacances et, après, je vais chercher</a> du boulot, comme beaucoup de Français. »
Read AgainRévoqué par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) de la présidence de Radio France</a>, fin janvier, Matthieu Gallet a annoncé, jeudi 22 février, sur France</a> Inter qu’il avait renoncé à contester</a> cette décision via la procédure d’urgence d’un référé suspension auprès du Conseil d’Etat. Cette procédure aurait pu lui permettre</a> le maintien à son poste le temps que le juge administratif se prononce.
La sanction du CSA avait été prise à la suite de la condamnation de M. Gallet à un an de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende, le 15 janvier, pour favoritisme lorsqu’il dirigeait l’Institut national de l’audiovisuel (INA).
Départ fixé au 1er mars
Le Conseil avait justifié sa décision en expliquant qu’il n’était plus en capacité de continuer</a> à diriger</a> la radio publique. Mais pour l’ancien patron de Radio France, la décision du CSA est « contestable juridiquement », mais « pas en référé suspension ». Cependant, « j’ai encore quelques semaines pour pouvoir</a> regarder [la possibilité d’un recours] au fond, non pas pour m’accrocher à cette maison, à ce poste, mais pour que le droit et tout le droit soit dit », a déclaré Mathieu Gallet.
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Interrogé ensuite sur ses projets, alors que son départ de Radio France a été fixé au 1er mars, et qu’il s’apprête à y passer</a> ses dernières heures, Mathieu Gallet a répondu : « Je vais partir</a> quelques jours en vacances et, après, je vais chercher</a> du boulot, comme beaucoup de Français. »
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