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« Top Chef » : La saison 13 s’offre des candidats et des chefs aux profils « radicaux » - 20 Minutes

« Toque toque toque, qui est là ? » Glissé dans les coulisses, Glenn Viel fait son arrivée sur le plateau de Top Chef. Pour sa treizième édition, l’émission culinaire de M6 fait (un petit peu) peau neuve grâce à un renouvellement partiel des membres du jury. Après sept saisons à porter les manchettes de la brigade jaune, Michel Sarran a été remplacé par le plus jeune chef français triplement étoilé de l’histoire.

« Glenn nous a paru une évidence pour mille raisons », affirme Florence Duhayot, productrice de l’émission. Parmi elles : son univers culinaire « très tranché », son « palmarès fantastique », son charisme… Il manque 997 justifications supplémentaires mais on a bien compris l’idée.

Du côté des jurés, le bonheur de découvrir un nouveau camarade de jeu se fait ressentir. « J’étais très heureuse d’accueillir Glenn. Je m’étais aussi très bien entendue avec Michel, se remémore Hélène Darroze. Il y avait beaucoup de complicité avant et je crois qu’il y a autant de complicité cette année. » Paul Pairet, quant à lui, voit l’arrivée de Glenn Viel comme « l’un des points très positifs de cette saison. » Voilà une arrivée qui promet beaucoup de douceur.

Suggestion du chef : beignets d’utérus de cochon

Pour le casting du jury, le choix a été vite fait. En ce qui concerne celui des candidats, cela a demandé un peu plus de temps que la cuisson d’un œuf dur. Cette année, la production a reçu environ 700 candidatures. Tous les âges sont représentés, en commençant par Pascal, 21 ans, Meilleur Apprenti de France 2020 et vainqueur d’Objectif Top Chef, jusqu’à Thibaut, 35 ans, l’un des cinquante premiers chefs à avoir obtenu l’étoile verte Michelin. « Globalement, notre volonté est ce mélange de générations », résume Stéphane Rotenberg.

Particularité de cette édition, les quatre jurés s’accordent à dire qu’il y a une pointe de radicalité dans la plupart des profils qui composent la promotion 2022. « Ils ont une personnalité et une vision des choses que je n’avais pas à 20 ans, juge Philippe Etchebest. Je pense que c’est plus tranché, plus marqué, plus réfléchi. Il y a des prises de conscience environnementales, écologiques. Et c’est bien parce que cette diversité fait que l’univers de la gastronomie est super enrichissant parce qu’on se nourrit des autres. »

« Je trouve qu’il y a des gens beaucoup plus tranchés dans leurs univers, confirme la productrice. Il y a un peu une radicalité dans les univers culinaires des candidats, ils sont plus matures. » C’est le cas d’Ambroise, 26 ans, chef de son propre resto dans lequel il cuisine les poissons pêchés dans la Loire qui coule au pied de son établissement ou encore de Louise et sa démarche qui tend vers le zéro déchet tout en cuisinant la langue ou le foie. Dans le premier épisode, on retient aussi le visage de Mickaël et surtout son tee-shirt sur lequel est floquée la phrase « Le gras, c’est la vie ». On vous prévient : si vous comptez aller dans son restaurant, attendez-vous à manger des beignets d’utérus de cochon. Et bon appétit, bien sûr.

De la radicalité aussi dans les épreuves

La production a décidé d’envoyer du pâté dès les premières minutes de l’épisode inaugural de cette nouvelle saison. En quelques secondes, elles nous offrent un aperçu des défis qui attendent les candidats dans les prochaines semaines : inventer des plats qui n’existent pas, faire voler de la nourriture, construire une table mangeable, concocter un dessert vivant… Grâce aux chefs invités, les concurrents repousseront leurs limites.

« Quand on extrait des images sur une saison, c’est intéressant de voir la radicalité de certains chefs avec lesquels on a travaillé. La cuisine, c’est fait de tout un tas de choses et on va le voir au cours de la saison », remarque Paul Pairet. Au fil des semaines, de nombreux chefs internationaux tels que Mike Bagale, Clary Smyth, Dominique Ansel ou Rasmus Munk viendront challenger les cuisiniers. Des personnalités bien connues des téléspectateurs seront aussi de la partie, comme Pierre Gagnaire, Mauro Colagreco, Gilles Goujon ou Anne-Sophie Pic. « En vrai, la saison est un doux mélange de choses radicales et de choses plus classiques », rassure la productrice Florence Duhayot.

« On aurait pu faire des choses classiques et traditionnelles magnifiques, enchérit Paul Pairet. Mais la radicalité est toujours intéressante parce qu’elle permet de donner un angle à une épreuve. » Adrien Cachot, candidat de la saison 11 et amoureux des abats, reviendra cette année pour juger une épreuve. En passant de l’autre côté du plan du travail, il apporte la preuve que la radicalité peut payer.

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« Toque toque toque, qui est là ? » Glissé dans les coulisses, Glenn Viel fait son arrivée sur le plateau de Top Chef. Pour sa treizième édition, l’émission culinaire de M6 fait (un petit peu) peau neuve grâce à un renouvellement partiel des membres du jury. Après sept saisons à porter les manchettes de la brigade jaune, Michel Sarran a été remplacé par le plus jeune chef français triplement étoilé de l’histoire.

« Glenn nous a paru une évidence pour mille raisons », affirme Florence Duhayot, productrice de l’émission. Parmi elles : son univers culinaire « très tranché », son « palmarès fantastique », son charisme… Il manque 997 justifications supplémentaires mais on a bien compris l’idée.

Du côté des jurés, le bonheur de découvrir un nouveau camarade de jeu se fait ressentir. « J’étais très heureuse d’accueillir Glenn. Je m’étais aussi très bien entendue avec Michel, se remémore Hélène Darroze. Il y avait beaucoup de complicité avant et je crois qu’il y a autant de complicité cette année. » Paul Pairet, quant à lui, voit l’arrivée de Glenn Viel comme « l’un des points très positifs de cette saison. » Voilà une arrivée qui promet beaucoup de douceur.

Suggestion du chef : beignets d’utérus de cochon

Pour le casting du jury, le choix a été vite fait. En ce qui concerne celui des candidats, cela a demandé un peu plus de temps que la cuisson d’un œuf dur. Cette année, la production a reçu environ 700 candidatures. Tous les âges sont représentés, en commençant par Pascal, 21 ans, Meilleur Apprenti de France 2020 et vainqueur d’Objectif Top Chef, jusqu’à Thibaut, 35 ans, l’un des cinquante premiers chefs à avoir obtenu l’étoile verte Michelin. « Globalement, notre volonté est ce mélange de générations », résume Stéphane Rotenberg.

Particularité de cette édition, les quatre jurés s’accordent à dire qu’il y a une pointe de radicalité dans la plupart des profils qui composent la promotion 2022. « Ils ont une personnalité et une vision des choses que je n’avais pas à 20 ans, juge Philippe Etchebest. Je pense que c’est plus tranché, plus marqué, plus réfléchi. Il y a des prises de conscience environnementales, écologiques. Et c’est bien parce que cette diversité fait que l’univers de la gastronomie est super enrichissant parce qu’on se nourrit des autres. »

« Je trouve qu’il y a des gens beaucoup plus tranchés dans leurs univers, confirme la productrice. Il y a un peu une radicalité dans les univers culinaires des candidats, ils sont plus matures. » C’est le cas d’Ambroise, 26 ans, chef de son propre resto dans lequel il cuisine les poissons pêchés dans la Loire qui coule au pied de son établissement ou encore de Louise et sa démarche qui tend vers le zéro déchet tout en cuisinant la langue ou le foie. Dans le premier épisode, on retient aussi le visage de Mickaël et surtout son tee-shirt sur lequel est floquée la phrase « Le gras, c’est la vie ». On vous prévient : si vous comptez aller dans son restaurant, attendez-vous à manger des beignets d’utérus de cochon. Et bon appétit, bien sûr.

De la radicalité aussi dans les épreuves

La production a décidé d’envoyer du pâté dès les premières minutes de l’épisode inaugural de cette nouvelle saison. En quelques secondes, elles nous offrent un aperçu des défis qui attendent les candidats dans les prochaines semaines : inventer des plats qui n’existent pas, faire voler de la nourriture, construire une table mangeable, concocter un dessert vivant… Grâce aux chefs invités, les concurrents repousseront leurs limites.

« Quand on extrait des images sur une saison, c’est intéressant de voir la radicalité de certains chefs avec lesquels on a travaillé. La cuisine, c’est fait de tout un tas de choses et on va le voir au cours de la saison », remarque Paul Pairet. Au fil des semaines, de nombreux chefs internationaux tels que Mike Bagale, Clary Smyth, Dominique Ansel ou Rasmus Munk viendront challenger les cuisiniers. Des personnalités bien connues des téléspectateurs seront aussi de la partie, comme Pierre Gagnaire, Mauro Colagreco, Gilles Goujon ou Anne-Sophie Pic. « En vrai, la saison est un doux mélange de choses radicales et de choses plus classiques », rassure la productrice Florence Duhayot.

« On aurait pu faire des choses classiques et traditionnelles magnifiques, enchérit Paul Pairet. Mais la radicalité est toujours intéressante parce qu’elle permet de donner un angle à une épreuve. » Adrien Cachot, candidat de la saison 11 et amoureux des abats, reviendra cette année pour juger une épreuve. En passant de l’autre côté du plan du travail, il apporte la preuve que la radicalité peut payer.

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