Invité de l’Heure des Pros sur CNews, le fils aîné de la fratrie Delon s’est expliqué sur le conflit familial autour de son père, qui se transforme en une bataille intempestive de plaintes depuis le 4 janvier.
Le jour d’après. Alors que le clan Delon s’est livré une bataille de plaintes hier, Anthony Delon s’est confié sur le plateau de l’Heure des pros, sur CNews, ce 5 janvier au matin.
«Je voudrais commencer par éteindre un incendie, parce que toutes ces histoires d'argent, d'héritage, ça me rend malade», a affirmé le fils aîné de l’acteur, qui a annoncé avoir déposé une main courante contre sa sœur, Anouchka, le 7 novembre dernier, dans les colonnes de Paris Match. «Je ne veux pas qu'on soit associés aux affaires Johnny et Bettencourt. Je veux dire la vérité. Je veux dire pourquoi on se déchire aujourd'hui». Et de trancher : «La succession est réglée, les problèmes d'argent il n'y en a pas».
«Éteindre un incendie»
«Ma sœur a 50% de l’héritage de notre père, tandis qu’Alain-Fabien et moi, nous avons 25% chacun», a-t-il poursuivi, avant de détailler : «Il n'y a pas de conflit, ni de guerre d'héritage. Maintenant, le combat d'aujourd'hui il est où ? Il est que mon frère et moi, même si c'est à nos dépens, nous voulons que la volonté de mon père soit respectée. Douchy [sa propriété du Loiret, NDLR] c'est chez lui, c'est sa maison». Anthony Delon, soutenu par son frère Alain--Fabien a donc martelé vouloir voir son père rester dans sa demeure du Loiret: «On veut qu'il finisse ses jours ici». «L'angoisse de ma sœur, avec son avocat, c'est que mon père soit redéfini citoyen français. Il y aura un énorme impôt, une énorme taxe», estime aussi celui qui accuse sa sœur de vouloir garder la main sur son père en l’emmenant avec elle en Suisse. «Mon père a toujours été son bras armé, elle vit à travers lui, depuis toujours».
Alain Delon réside dans sa propriété de 120 hectares au côté de son dernier fils, Alain-Fabien, depuis que sa dame de compagnie, Hiromi Rollin a été expulsée des lieux le 3 juillet dernier, quand les trois enfants de l’acteur ont déposé deux plaintes successives contre elle. L'une porte sur des faits de «harcèlement moral», «détournement de correspondances» et «maltraitance animale» ; l'autre sur des «violences volontaires et séquestration sur personne vulnérable, abus de faiblesse et harcèlement moral». Hasard du calendrier ou non, toutes deux ont été classées sans suite par le parquet de Montargis le 4 janvier, une heure avant qu’une nouvelle série de plaintes ne fuse entre les membres de la famille : Anouchka Delon a contre-attaqué son frère en portant plainte pour «diffamation» et «harcèlement» contre lui, avant d’être visée par une plainte de son père pour «diffamation».
«Complice d’Hiromi Rollin»
Par sa main courante, l’aîné de la fratrie déchirée reproche à sa sœur d’avoir dissimulé cinq tests cognitifs négatifs, réalisés en Suisse, et à l’issue desquels les médecins ont attesté de l’état de santé très dégradé de l’acteur vieillissant. «Si on avait su, on aurait agi plus tôt dans l'affaire Rollin. On aurait donné ces tests à la gendarmerie, on les aurait inclus dans la plainte [contre Hiromi Rollin, NDLR]», a-t-il martelé sur le plateau de Pascal Praud. Il fustige le rôle de sa sœur, qui selon lui, se serait rendue complice d’Hiromi Rollin. «On l'a récupéré dans un état physique et psychologique de délabrement», explique celui qui a passé Noël au côté de son père, de son demi-frère Alain-Fabien, et de ses deux filles.
Sur un cliché, publié le soir de Noël par son dernier fils, on aperçoit l’acteur, souriant, dans son fauteuil roulant, et entouré des siens. «Il n'était pas très content de la tronche qu'il avait, il a dit après : ''Je suis pas très beau''», confie Anthony Delon.
Invité de l’Heure des Pros sur CNews, le fils aîné de la fratrie Delon s’est expliqué sur le conflit familial autour de son père, qui se transforme en une bataille intempestive de plaintes depuis le 4 janvier.
Le jour d’après. Alors que le clan Delon s’est livré une bataille de plaintes hier, Anthony Delon s’est confié sur le plateau de l’Heure des pros, sur CNews, ce 5 janvier au matin.
«Je voudrais commencer par éteindre un incendie, parce que toutes ces histoires d'argent, d'héritage, ça me rend malade», a affirmé le fils aîné de l’acteur, qui a annoncé avoir déposé une main courante contre sa sœur, Anouchka, le 7 novembre dernier, dans les colonnes de Paris Match. «Je ne veux pas qu'on soit associés aux affaires Johnny et Bettencourt. Je veux dire la vérité. Je veux dire pourquoi on se déchire aujourd'hui». Et de trancher : «La succession est réglée, les problèmes d'argent il n'y en a pas».
«Éteindre un incendie»
«Ma sœur a 50% de l’héritage de notre père, tandis qu’Alain-Fabien et moi, nous avons 25% chacun», a-t-il poursuivi, avant de détailler : «Il n'y a pas de conflit, ni de guerre d'héritage. Maintenant, le combat d'aujourd'hui il est où ? Il est que mon frère et moi, même si c'est à nos dépens, nous voulons que la volonté de mon père soit respectée. Douchy [sa propriété du Loiret, NDLR] c'est chez lui, c'est sa maison». Anthony Delon, soutenu par son frère Alain--Fabien a donc martelé vouloir voir son père rester dans sa demeure du Loiret: «On veut qu'il finisse ses jours ici». «L'angoisse de ma sœur, avec son avocat, c'est que mon père soit redéfini citoyen français. Il y aura un énorme impôt, une énorme taxe», estime aussi celui qui accuse sa sœur de vouloir garder la main sur son père en l’emmenant avec elle en Suisse. «Mon père a toujours été son bras armé, elle vit à travers lui, depuis toujours».
Alain Delon réside dans sa propriété de 120 hectares au côté de son dernier fils, Alain-Fabien, depuis que sa dame de compagnie, Hiromi Rollin a été expulsée des lieux le 3 juillet dernier, quand les trois enfants de l’acteur ont déposé deux plaintes successives contre elle. L'une porte sur des faits de «harcèlement moral», «détournement de correspondances» et «maltraitance animale» ; l'autre sur des «violences volontaires et séquestration sur personne vulnérable, abus de faiblesse et harcèlement moral». Hasard du calendrier ou non, toutes deux ont été classées sans suite par le parquet de Montargis le 4 janvier, une heure avant qu’une nouvelle série de plaintes ne fuse entre les membres de la famille : Anouchka Delon a contre-attaqué son frère en portant plainte pour «diffamation» et «harcèlement» contre lui, avant d’être visée par une plainte de son père pour «diffamation».
«Complice d’Hiromi Rollin»
Par sa main courante, l’aîné de la fratrie déchirée reproche à sa sœur d’avoir dissimulé cinq tests cognitifs négatifs, réalisés en Suisse, et à l’issue desquels les médecins ont attesté de l’état de santé très dégradé de l’acteur vieillissant. «Si on avait su, on aurait agi plus tôt dans l'affaire Rollin. On aurait donné ces tests à la gendarmerie, on les aurait inclus dans la plainte [contre Hiromi Rollin, NDLR]», a-t-il martelé sur le plateau de Pascal Praud. Il fustige le rôle de sa sœur, qui selon lui, se serait rendue complice d’Hiromi Rollin. «On l'a récupéré dans un état physique et psychologique de délabrement», explique celui qui a passé Noël au côté de son père, de son demi-frère Alain-Fabien, et de ses deux filles.
Sur un cliché, publié le soir de Noël par son dernier fils, on aperçoit l’acteur, souriant, dans son fauteuil roulant, et entouré des siens. «Il n'était pas très content de la tronche qu'il avait, il a dit après : ''Je suis pas très beau''», confie Anthony Delon.
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